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1. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Max Horkheimer Bemerkungen über Wissenschaft und Krise
2. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Max Horkheimer Vorwort
3. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Friedrich Pollock Die gegenwärtige Lage des Kapitalismus und die Aussichten einer planwirtschaftlichen Neuordnung
4. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Erich Fromm Über Methode und Aufgabe einer analytischen Sozialpsychologie
5. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Theodor Wiesengrund-Adorno Zur gesellschaftlichen Lage der Musik
6. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Leo Löwenthal Zur gesellschaftlichen Lage der Literatur
7. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Henryk Grossmann Die Wert-Preis-Transformation bei Marx und das Krisenproblem
8. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Max Horkheimer Geschichte und Psychologie
9. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Gerhard Meyer Neuere Literatur über Planwirtschaft
10. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Theodor Wiesengrund-Adorno Zur gesellschaftlichen Lage der Musik
11. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Erich Fromm Die psychoanalytische Charakterologie und ihre Bedeutung für die Sozialpsychologie
12. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Julian Gumperz Zur Soziologie des amerikanischen Parteiensystems
13. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Andries Sternheim Zum Problem der Freizeitgestaltung
14. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Franz Borkenau Zur Soziologie des mechanistischen Weltbildes
15. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Max Horkheimer Materialismus und Metaphysik
16. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Kurt Baumann Autarkie und Planwirtschaft
17. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Leo Löwenthal Conrad Ferdinand Meyers heroische Geschichtsauffassung
18. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Georg Rusche Arbeitsmarkt und Strafvollzug: Gedanken zur Soziologie der Strafjustiz
19. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Max Horkheimer Bemerkungen zur philosophischen Anthropologie
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These critical remarks attempt to point out the role which modern philosophical anthropology can play in historical theories of the present day. In order to grasp correctly the historical tendencies of the present period, it is necessary to take into account the special characteristics of modern man. Modern philosophical anthropology is criticized by H. because it attempts to picture man in his fundamental essence as a permanent and unchangeable entity, instead of studying him from the viewpoint of a theory of historical change. Today it is necessary to emphasize the difference in human qualities between different social groups and to understand the interconnection between the changes of human types and the whole social development. But philosophical anthropology attempts to consider the essence of man as permanent and independent of historical change, and thus to impart meaning to individual and social life. In this way it proves its relationship to metaphysics and religion. In contradiction to this, H. indicates the results that might be achieved on the basis of an historical approach. He shows how the attitude of modern man towards contracts has changed in the last decades ; how the principle of equality has taken on an entirely different meaning ; how the human qualities of sympathy and understanding change their essence and their functions and are being transferred from one social group to another.Pour saisir exactement les tendances historiques de l'époque actuelle, il est nécessaire de tenir compte aussi du caractère propre et des transformations des hommes d'aujourd'hui. L'anthropologie philosophique moderne est critiquée par H. parce qu'elle cherche à dessiner une image éternelle de l'homme, alors que les études anthropologiques devraient être pénétrées d'esprit historique. Alors qu’il importe aujourd’hui de dégager les différences des qualités humaines dans les divers groupes sociaux, de comprendre le lien des transformations des types humains et de l’évolution de la société dans son ensemble, l’anthropologie philosophique veut fixer une fois pour toutes l'essence de l’homme et donner par là un sens à l’existence individuelle et sociale. Elle montre ainsi qu’elle est solidaire de la métaphysique et de la religion. H. oppose à cette méthode une recherche anthropologique qui serait orientée aux problèmes historiques, et il donne quelques indications sur cette anthropologie. J1 montre comment l’attitude de l’homme actuel à l’égard des engagements et des traités s’est transformée dans les dernières dizaines d’années, comment la categorie d'égalité comme détermination des hommes prend des significations toutes différentes, comment les qualités humaines de compréhension et de sympathie changent de nature et de fonction, passent d’un groupe social à un autre.
20. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
K. A. Wittfogel The Foundations and Stages of Chinese Economic History
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Der vorliegende Aufsatz stellt einleitend fest, dass nur eine an materiellen Gesichtspunkten orientierte Betrachtungsweise im Stande ist, die Frage des Wertes der chinesischen Geschichtsquellen zu beantworten, an der eine rein philologische Methodologie notwendigerweise scheitern musste. Sachliche, nicht formelle Probleme haben im Mittelpunkte einer wirklich wissenschaftlichen Analyse der chinesischen Wirtschafts- und Sozialgeschichte zu stehen.Gab es ursprünglich in China eine kollektive Agrarordnung, und falls ja, wie war sie beschaffen ? Welche Ursachen hatten Beginn, Blüte und Verfall dieser Agrarkommune ? Welche Ursachen hatte der Verfall der auf ihrer Grundlage errichteten Feudalordnung ? Welches waren Charakter und Bewegungsgesetz des aus Chinas Feudalismus hervorwachsenden Produktionssystems ? Welches war das Prinzip seiner Krisen und seines fehlerhaften Kreislaufs ?W. s Aufsatz sucht, gestützt auf die These, dass Chinas nachfeudale Gesellschaft eine spezifische Schattierung einer allgemeineren ,orientalisch’ — bürokratischen Sozialordnung gewesen sei, einen Teil dieser Fragen zu beantworten und für die übrigen zu umreissen, in welcher Richtung ihre wissenschaftliche Beantwortung erfolgen muss. Der abschliessende Vergleich mit der durchaus andersartigen sozial ökonomischen Entwicklung Japans zeigt die Bedeutung einer wirtschaftsgeschichtlichen Analyse Chinas auch für ein wissenschaftliches Verständnis der gegenwärtigen gesellschaftlichen Erscheinungen des Fernen Ostens.L’article précédent commence par poser que seule une méthode orientée à des points de vue matériels est en état de donner une réponse à la question de la valeur des sources de l’histoire chinoise, tandis qu’une méthode qui tendrait à la pure philologie échouerait nécessairement. Ce sont des problèmes de faits et non des problèmes formels qui doivent être au centre d’une analyse véritablement scientifique de l’histoire économique et sociale de la Chine.A-t-il existé primitivement en Chine une organisation agraire collective et dans le cas où il faudrait répondre par l’affirmative, quelle était cette organisation ? Quelles furent les causes du début, de l’épanouissement, et de la décadence de ces communautés agraires ? Quelles furent les causes de la décadence de l’ordre féodal fondé sur ces communautés ? Quels furent le caractère et la loi d’évolution du système de production sorti de la féodalité chinoise ? Quel fut le principe des crises et du cycle défectueux de ce système ?L’article de W. s’appuie sur la thèse selon laquelle la société post-féodale chinoise était un aspect particulier de l’ordre social général qu’on appelle bureaucratie „orientale“, et cherche ainsi à donner partiellement réponse aux questions précédentes, et pour le reste à déterminer dans quelles directions une réponse scientifique doit survenir. La comparaison finale entre l’évolution économique et sociale chinoise et l’évolution toute différente du Japon montre la signification qu’une analyse d’histoire économique de la vieille Chine présente aussi pour une compréhension scientifique des phénomènes sociaux actuels en Extrême-Orient.