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81. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 2
Kurt Mandelbaum, Gerhard Meyer Zur Theorie der Planwirtschaft
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Cet article débute par quelques brèves considérations sur la notion même de l'économie dirigée et sur les limitations inévitables d'une économie dirigée du type capitaliste. Les auteurs cherchent ensuite à démontrer que dans les conditions actuelles une économie dirigée socialiste est parfaitement possible au point de vue économique. Ils étudient les principaux types d'essais de solutions, différenciant entre les deux types fondamentaux („Verwaltungssozialismus“ et „Marktsozialismus“) ainsi que pour chaque type entre les formes pures et les formes modifiées. Il n'y a pas d'opposition irréductible entre ces deux types ; T article montre au contraire F existence de relations entre eux. Dans une exposition objective des problèmes essentiels, il examine en détail la question de savoir si et comment on peut établir des calculs économiques dans les différentes conditions et assurer un développement sans crises deFéconomie. L’analyse est complétée par des recherches sur la productivité d’une économie dirigée socialiste et sur les principes de l’intégration de l’individu, en tant que consommateur et bénéficiaire de revenus, dans l’économie planée. Il résulte de l’étude que les objections de principe soulevées par la critique libérale ne se justifient aucunement. Les différences existant entre les divers types sont purement de nature „technique“, et les véritables oppositions dans la théorie du socialisme ne résident pas du tout dans le mode d’organisation de l’économie dirigée, mais dans les conditions sociologiques et politiques préalables. Pour terminer, les auteurs critiquent sévèrement l’introduction dans le socialisme d’un „secteur d’économie privée“.After a short exposition of the concept of economic planning, and of the definite limits to capitalist planning, it is shown how on the basis of present-day suppositions, socialist planning is economically possible. A typology of the most important solutions offered distinguishes between „administrative“ and „market“ socialism, and between the pure and modified forms in both types. Between these two main types there does not exist an opposition that cannot be bridged — indeed passages of contact run from one to the other. A positive analysis of the main problems offered in reply to a criticism treats in detail of the problem of whether and how under several suppositions we can economically calcutate and ensure a planned economic society free from crises. There then follow investigations into the productivity of a socialistically planned society, and into the principles governing individuals as consumers and income receivers in the totality of economic life. It is seen that the basic objections raised by liberal criticism do not meet the case. The differences between the types are only of a technical nature. The essential antitheses in the theory of socialism is not to be sought in the kind of organization of the planned economy, but in fundamental sociopolitical suppositions. Finally concessions towards a private economy section under socialism receive a thorough criticism.
82. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Leo Löwenthal Die Auffassung Dostojewskis im Vorkriegsdeutschland
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Le travail s'efforce de dégager la signification sociale de la diffusion de Dostojewski. Cette réception s'accomplit en première ligne dans la petite et dans la moyenne bourgeoisie et exerce une fonction idéologique déterminée dans ces couches de la population. La situation relativement sans espoir de ces classes coincées entre les groupes sociaux véritablement influents et le prolétariat est transfigurée dans l'oeuvre de Dostojewski. Celle-ci est comprise comme une idéalisation et une interprétation pleine de signification de l'existence même de ces classes. Le mythe qui sortait comme une vision des romans de Dostojewski prend aux yeux de cette bourgeoisie les formes les plus diverses, depuis l'hymne nationaliste jusqu'à la divinisation la plus universelle du monde. Le fait de pénétrer profondément dans l'univers de Dostojewski contribue par suite d'une manière particulière à apaiser l'inquiétude de ceux qui sont placés dans ces situations sociales. L'effort des critiques pour interpréter les figures de Dostojewski dans le sens d'une réconciliation de toutes les contradictions a un caractère idéologique et spécifique. L'article met finalement en lumière les facteurs de psychologie sociale qui ont rendu possible la fonction sociale des oeuvres de Dostojewski en Allemagne.The article attempts to bring out the social significance of the widespread reception given to Dostoevski's writings. They took hold especially among the lower strata of the middle classes, serving witnin them a certain ideological function. It was this group in society, cramped between the powerful upper class and the proletariat, with relatively no prospects for the future, that Dostoevski glorified : he idealized them and gave meaning to their existence in his works.The vision projected in Dostoevski's novels takes on the most different forms in the eyes of these groups, — from a nationalistic paeon to a general deification of the world. Submerging themselves in the world of Dostoevski gave them a certain feeling of reassurance. There was a specific ideological trend in the attempt of critics to interpret Dostoevski's characters as a merging of all differences and contradictions. Furthermore, the article points out the social-psychological factors which made it possible for Dostoevski's works to serve a social function in Germany.
83. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 3 > Issue: 3
Max Horkheimer Zu Bergsons Metaphysik der Zeit
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Bergson develops, along with his metaphysic, a positivist theory of science. That both are strongly interrelated in his works is a demonstration of their close relationship, which also is characteristic of the present philosophical situation. Bergson has in general accentuated those problems of methodology and matter that had been neglected by contemporary science. He has contributed in an important way to the development of psychology and biology, and his central theme, — the problem of time in its reality — is a focal category of every theory of history. Bergson has paid special attention to the difference between time that is lived and that abstract time that dominates in the natural sciences. Frequently his discussions approximate a dialectic approach. H. stresses these tendencies in his discussion of the new book. The subordination of Bergson’s thought to his metaphysical ends, however, has interfered with those parts of his works that might have otherwise borne fruit. Instead of using his psychological analyses to penetrate more clearly into historical relationships, he uses them as supports for his vision of „creative development”. The contradiction that pervades Bergson’s entire philosophy manifests itself in the unhistorical character of this thought and the attempt to define the function of time in its theoretical implications. H. demonstrates that Bergson is led to negate time because he elevates the concept to a metaphysical principle. Bergson développe en même temps que sa métaphysique une théorie positiviste de la science. Dans la mesure où ces deux aspects de son oeuvre sont manifestement en relation étroite, ils s’appuient et se conditionnent. Ce n’est pas seulement par là que l’oeuvre de Bergson est caractéristique pour la situation actuelle du mouvement des idées. La philosophie de Bergson a rempli dans une mesure particulièrement grande la tâche qui consistait à faire progresser de manière indépendante des problèmes méthodologiques et matériels que le travail scientifique contemporain négligeait. Psychologie et biologie lui doivent d’importantes contributions et se sont engagées en partie sous son influence dans des voies nouvelles. Son thème fondamental : le temps réel est une catégorie centrale de toute théorie de l'histoire, bien plus encore de toute pensée théorique qui cherche à embrasser l’ensemble. Bergson a distingué le temps vécu du temps abstrait des sciences de la nature et il en a fait l’objet de ses recherches personnelles. Souvent ainsi il a été conduit jusqu’au seuil de la dialectique. A l’occasion de son nouveau livre, H. met en lumière quelques-uns des passages où pointe la dialectique. La subordination de la pensée bergsonienne à une intention métaphysique ultime a cependant porté grand préjudice aux parties fécondes de son oeuvre. Au lieu de mettre ses analyses psychologiques au service d’une connaissance de l’ensemble historique différenciée et toujours consciente de ses propres hypothèses, ces analyses psychologiques chez Bergson lui-même ne sont destinées qu’à introduire et assurer son mythe de „L’Évolution créatrice“. La contradiction qui traverse toute la philosophie de Bergson réside dans l’opposition de sa pensée princi-piellement non historique et de l’effort pour saisir le rôle du temps. H. montre que Bergson doit nier le temps lorsqu’il l’érige en principe métaphysique
84. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 2
Max Horkheimer Vorwort
85. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 2
Max Horkheimer Materialismus und Moral
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L'idéalisme comprend le devoir moral comme une catégorie éternelle et le formule en lois qui s'adressent aux sentiments de chaque individu. Le matérialisme, au contraire, cherche à expliquer la conscience morale par les conditions sociales et à l’exposer historiquement. L'article ci-dessus donne les grandes lignes d'une telle analyse. Il distingue entre la morale, phénomène de notre temps, l'éthique de l'antiquité et la conception autoritaire du moyen âge. La morale se base essentiellement sur la société bourgeoise, dans laquelle l'intérêt particulier et l’intérêt général sont distincts. L'individu qui, dans l'activité quotidienne, ne recherche que son propre avantage, éprouve à l’appel de sa conscience, le souci de la société. L'auteur démontre ce fait au moyen d'une analyse de l’impératif catégorique de Kant.La morale bourgeoise contient déjà les germes de sa victoire sur elle- même. Elle tend vers une société dans laquelle le devoir et l'intérêt ne seront plus séparés. On retrouve cette tendance non seulement chez Kant, mais encore chez d'autres grands philosophes bourgeois. Les idées de justice, d'égalité et de liberté prennent peu à peu, au fur et à mesure que la société bourgeoise se développe, une autre signification que celle qu'elles paraissent avoir eue au début ; elles exigent aujourd'hui la modification des conditions pour l'introduction desquelles elles ont pourtant été proclamées à l'origine. Cette dialectique est une des raisons de la perplexité actuelle en matière d’idées sur le monde et la vie. Dans l'exposition de cette dialectique, l'auteur montre comment les idées bourgeoises ne vivent plus aujourd'hui dans la pensée idéaliste, mais bien plus dans la pensée matérialiste. Les deux formes principales d’expression de la morale ont actuellement, d’après M. Horkheimer, la pitié et la politique. Elles ne peuvent pas être rationnellement liées l'une à l'autre, mais le sens moral se manifeste dans toutes deux.L'impulsion morale est vivante non seulement dans la vie pratique, mais aussi dans la science. Le matérialisme nie la possibilité d'une science entièrement objective : les intérêts des hommes influencent la recherche scientifique. Il est vrai que ces intérêts, si sublimes qu'ils puissent être, ne sont pas l'émanation d’un sujet libre, comme l'enseigne l'idéalisme, mais la conséquence nécessaire du processus historique. Aussi le matérialisme n’exige- t-il nullement, pour autant que le respect de la vérité reste l'élément de base, le manque de chaque jugement moral dans la science. La croyance du positivisme actuel à la possibilité de faire des constatations affranchies de toute théorie, comme d'ailleurs son aversion envers toute théorie en général, sont dues à ce qu’il ne possède pas lui-même de grandes idées directrices. La théorie naît partout où les connaissances sont sciemment rapportées à un but, c'est-à-dire strictement en relation avec des valeurs de la pratique.Philosophical idealism conceives moral obligation as an eternal category, and formulates it in commandments that appeal to individual sentiment. Philosophical materialism on the other hand, endeavours to explain moral consciousness in terms of social conditions, and to present it in its historical perspective. This essay attempts to furnish the main features for such an analysis. It distinguishes ethics, as a phenomenon of modern times, from that of ancient times, and from the authoritative attitude in the middle ages. Its foundation rests on bourgeois society in which individual and collective interests become sharply separated from each other. The individual, who in his daily work looks to his private interests, experiences through his conscience, concern for the public welfare. H. proves this through his analysis of Kant’s categorical imperative.Bourgeois morality already contains within itself the seeds of its own dissolution. It indicates a society in which duty and interest are no longer separate. This tendency in ethics becomes manifest, not only in Kant, but also in other great philosophers of bourgeois society. With the development of the latter the ideas of Justice, Equality, and Freedom acquire a content other than that they seem to have possessed in their genesis, and to-day require that change in conditions, to effect which, they were originally introduced. This dialectical process is one of the causes of the present-day philosophical uncertainty. H. shows in his exposition of this dialectical process, how bourgeois ideas are no longer active in idealist thought, but are so in materialist thought.The two main forms in which contemporary ethics expresses itself, are according to H. pity and politics, which cannot indeed, in a rational way, be connected one to the other. Both arise out of a moral sentiment. This moral impulse is active not only in practical life, but also in knowledge. Philosophical materialism denies the possibility of completely objective knowledge : men’s interests find expression also in their cognition. Indeed, however sublime these interests are, they do not spring from „free“ beings, as idealism maintains, but are the necessary results of historical processes.Accordingly, materialism in no way claims for knowledge, freedom from all subjective valuations, but only that a consideration for truth, remain the dominant characteristic. The belief of modern positivism in the possibility of attitudes free from all valuations, as well as its disinclination for all theory, is due to the fact that it possesses no great leading ideas. In all cases is theory vindicated, only when knowledge has a definite aim, that is, when it is related to practical values.
86. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 2
Leo Löwenthal Zugtier und Sklaverei: Zum Buch Lefebvre des Noettes’ : ,,L’attelage. Le cheval de selle à travers les âges“.
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Cet article étudie l'aspect sociologique des recherches de Lefebvres des Noëttes, plus particulièrement son ouvrage : „L'attelage. Le cheval de selle à travers les âges“. Comme le sous-titre de cet ouvrage („Contribution à Thistoire de l'esclavage“) l'indique déjà, le savant français y étudie la technique de l'attelage des animaux de trait. Il tend à démontrer que ce fut l'insuffisance de ces derniers, phénomène resté inchangé jusqu'au vu® siècle de l'ère chrétienne, qui joua un rôle principal dans le maintien de l'esclavage. Les travaux les plus pénibles, le transport des grosses charges en particulier, qui furent accomplis plus tard par les animaux et qui le sont aujourd'hui essentiellement par des moyens mécaniques, ne pouvaient en effet être exécutés à cette époque qu'en recourant au travail forcé, élément caractéristique de l'esclavage. L'histoire nous montre qu'il existe un rapport direct entre l'ampleur des réalisations de l'homme, tout particulièrement des constructions et des routes, et la rigueur avec laquelle on traitait les êtres privés de liberté. Même dans les temps modernes, l'institution de l'esclavage réapparaît, sous une forme ou sous une autre, partout où la force animale est insuffisante (plantations en Amérique du Sud, portage en Afrique centrale). La question de l'esclavage peut donc aujourd'hui être traitée comme une branche de 1' „histoire critique de la technique“, comme un chapitre de la grande controverse entre l'homme et la nature, retirant ainsi tout fondement aux vagues explications politiques ou morales concernant l'origine et le déclin de l'esclavage.This essay deals with the sociological significance of Lefebvres des Noettes' researches, in particular with his work „Harnessing. The Saddle- Horse throughout the Ages“. As the sub-title of his book „Contribution to the History of Slavery“ indicates, the French scholar studies the technical art of harnessing draught-animals, and endeavours to show how its inadequacy, which remained unchanged right into the seventh century A. D. was an essential condition for the maintenance of slavery. For the heavy labour-tasks, above all the transport of huge loads, which later were based on animal-power and to-day are largely accomplished by mechanised locomotion, were then only to be achieved by man-power, by the use of force, as exemplified in slavery. In history there obtains a direct relationship between the extent of cultural achievements, shown especially in buildings and roads, and the severity in the treatment of slaves. Wherever in more recent times, there was not at hand, an extensive draught-animal apparatus, there arose, in some form or other, the institution of slavery (plantations in South America, porters in Central Africa). Such an interpretation makes it possible to consider the question of slavery, as a part of the „critical history of technology“, and as a chapter in the struggle of man against nature. In this way, vague political or moral explanations of the rise and fall of slavery lose all their force.
87. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 2
Julian Gumperz Recent Social Trends in U. S. A.: Gesichtspunkte zur Kritik des gleichnamigen „Report"
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Le but de cette encyclopédie en deux volumes, rédigée à l’instigation du président Hoover, était d’exposer tous les aspects de la vie sociale américaine, dans le dessein bien arrêté de saisir les rapports existant entre les différentes sphères sociales et de déterminer les transformations qui se produisent au sein de la société. Ces transformations devaient non seulement être constatées, mais on voulait encore essayer de trouver leur tendance générale, leur „trend“, c’est-à-dire la loi qui les détermine. Dans une critique des résultats et des méthodes de cette „expression collective de la recherche sociale aux États-Unis“, M. G. s’efforce de montrer qu’en dépit de l’ampleur considérable de l’ouvrage, qui est également, en quelque sorte, une encyclopédie de la société américaine, le but scientifique visé n’a pas été atteint, et qu’il ne pouvait pas l’être. En effet, la théorie d’Ogburn, qui est à la base de l’ouvrage, et d’après laquelle les crises sont dues à des disproportions dans la vitesse de développement des différentes régions sociales, est insuffisante. Elle présuppose un ordre social relativement stable, dans lequel les dérangements peuvent être considérés comme de simples oscillations autour d’un noyau sain en lui-même. Comme le phénomène fondamental, la crise économique, n’est pas traité, on renonce à reconnaître méthodiquement que tous les processus sociaux sont incontestablement influencés par les faits économiques. Une autre objection importante, illustrée par M. G. au moyen d’une série d’exemples, concerne la notion du „trend“, empruntée à l’étude de la conjoncture. Le „trend“ ne peut pas avoir une loi sociale adéquate, parce qu’il tend à transformer tous les rapports sociaux qualitatifs en rapports mathématico-statistiques de valeurs. Le système actuel de la société, avec ses multiples ramifications, ne pourra toutefois jamais être saisi à i’aide de méthodes uniquement quantitatives ; il exige au contraire, dans son ensemble, une interprétation dynamique de la société. Comme le „Report“ y a renoncé, son intention théorique devait nécessairement échouer. Plus encore : les propositions pratiques qu’il fait pour l’élimination des défauts de la société américaine n’arrivent pas à la racine du mal.The joint report written at the request of president Hoover undertakes to present every aspect of social life in America. It has more over the special purpose of comprehensing the inter-relationships between these separate social compartments, and determining what social changes are taking place. Not only are these changes to be ascertained but the attempt made to grasp their trend, or in other words, to grasp the law determining these changes. G. seeks to show in a criticism of the results and methods of this „collective expression of sociological research in the United States“, that notwithstanding the extraordinary experience these 40 leading social scientists could draw upon, and the admirable comprehensiveness of this work-indeed an encyclopedia of American social life-, the scientific aim was not achieved, and could not be achieved. This is due to the insufficiency of Ogburn’s theory which underlies the work, that phenomena of crisis are to be traced to the disproportionate rates of change of the various provinces of social life. It presupposes a relatively stable social order in which upheavals are felt as mere oscillations around an intrinsically firm nucleus. Because the fundamental phenomenon of the economic crisis is not considered, the Report dispenses with the approach to a methodological standpoint, according to which all social processes are decisively determined by economic processes. Another important objection, which G. illustrates by a series of examples relates to concept of the trend borrowed from the business cycle. This can in no way furnish a suitable social law, because it tends to resolve all qualitative social relationships into mathematical- statistical formulae. Present day society, with its manifold divisions, can never be understood by quantitative methods only, but presumes a dialectical point of view for social life as a whole, which is ever in a state of flux. Since such a theoretical aim vitiated, but even its practical proposals, which it puts forward to rectify the shortcomings of American social life, fail to touch the root of the evil.
88. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 2
Gerhard Meyer Neue englische Literatur zur Planwirtschaft