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Roczniki Filozoficzne:
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8 >
Issue: 2
Czesław Strzeszewski
Czesław Strzeszewski
Bibliografia wybrana prac z zakresu etyki społecznej i zagadnień pokrewnych za lata 1957—1959
Bibliografia wybrana prac z zakresu etyki społecznej i zagadnień pokrewnych za lata 1957—1959
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 2
Władysław Piwowarski
Władysław Piwowarski
Rodzina jako społeczność naturalna według św. Tomasza z Akwinu
La Famille Comme Communaute Naturelle Selon St Thomas D’Aquin
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En s’appuyant sur des textes de saint Thomas d’Aquin, nous avons fait un raisonnement suivant. Nous avons d’abord démontré que l’homme, par sa nature, tend à la vie dans la société. Cela résulte du caractère potentiet de sa nature, du fait qu’il cherche à réaliser sa pleine humanité; il ne peut y parvenir tout seul, sans collaborer et coopérer avec les autres. Car les hommes, en s’entr’aidant dans ce qui est nécessaire à leur vie et à leur développement, comme generation nutrimentum et disciplina, torment des communautés familiales. La familie, en se fondant directement sur la nature humaine, est done une communauté nécessaire au développement spirituel et physique de Thomme. Pour cette raison, la thèse de saint Thomas d’Aquin affirmant que Thomme, par sa nature, tend à la vie sociale doit être appliquée à la communauté familiale — cette cellule fondamentale de la vie sociale, et l’on doit constater que Thomme, par sa nature, tend à la vie familiale. Les opinions de saint Thomas d’Aquin sur le caractère naturel de la communauté familiale restent valables pour toutes les époques historiques et trouvent leur confirmation dans les résultats les plus récents de l’ethno-sociologie.
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Issue: 2
Władysław K. Szymański
Władysław K. Szymański
Analiza czynu ludzkiego w nowym oświetleniu
L’Analyse de l’Acte Humain dans l’Aspect Nouveau
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On signale dans cet article ue jusqu’à nos jours la portée de l'analyse de l’acte humain, quoiqu’il soit l’objet propre de l'éthique, n’est pas mise assez en relief dans l’enseignement.Après avoir examiné dans la première partie le problème en son développement historique, il en résulte en effet qu’on parle — du temps de Billuart de Fanalyse psychologique de Facte humain.Néanmoins, déjà S. Thomas en 1—2, q. 8—17 avait envisagé dans l’analyse la structure même de l'acte, et cela constitue la considération proprement dite, comme la signale derrièrement Pinckaers.C’est pourquoi dans la deuxième partie de l'article on essaye de faire de nouveau l'analyse de la structure de l'acte humain en s’appuyant sur la doctrine authentique de S. Thomas. Cette analyse à son tour conduit à déterminer la méthode scientifique de l'éthique dont l’objet représenté une caractéristique composition étant en même temps théorétique et pratique. Le passage de la théorie à l'application pratique est justement la méthode propre de cette discipline.En outre l'analyse de l'acte humain comme l'objet de l'éthique per met à désigner les problèmes principals de celle-ci et surtout à affirmer que son fondement est la science (sophia) théorétique ou métaphysique prise de point de vue de sa fonction grâce à laquelle on découvre systématiquement la fin ultime.I a propre et fondamentale structure de l'éthique font: 1) L’amour unissant l’homme avec la fin qui décide de la rectitude de volonté dans la vie morale; 2) la prudence permettant bien choisir et utiliser les moyens aptes pour atteindre la fin.II en résulte que par respect aux ces problèmes principaux les autres ne jouent qu’un rôle secondaire et auxiliaire.
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Issue: 3
Stanisław Mazierski
Stanisław Mazierski
Podstawowe realności w filozofii i fizyce
Podstawowe realności w filozofii i fizyce
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Stanisław Kamiński
Stanisław Kamiński
Pierwiastki empiryczne i aprioryczne w podstawach nauk fizykalnych
Elements Empiriques et Elements a Priori dans les Sciences Physiques
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L’auteur de l’article se propose d’étudier deux questions connexes: 1° Quels sont, à la base même des systèmes physiques, les éléments empiriques, quels sont les éléments a priori et quelles en sont les modalités? 2° Comment est-ce que ces éléments opposés s’unissent dans la connais- sance du monde physique? Après avoir examiné brièvement différentes varietés d’empirisme et d’apriorisme, hauteur présente d’abord le rôle des facteurs empiriques et des facteurs a priori dans le système de physique tel que le concevaient différents théoriciens de la connaissance. II apporte une grande attention à l’histoire de la caractéristique de la proposition scientifique. II tâche ensuite de démontrer et de définir le rôle des deux types d’éléments en question dans l’appareil de notions de la physique de même que dans les thèses et les règles posées à la base des systèmes physiques.En tenant compte de la physique théorique aussi bien que de la physique empirique, d’ailleurs étroitement connexes, on constate qu’on ne peut pas diviser leurs concepts en deux classes: celle des concepts purement empiriques et celle des concepts a priori purs. Dans l'appareil de notions physique les facteurs empiriques et ceux a priori se pénètrent intimement et se complètent: on crée des concepts théoriques pour ordonner et expliquer les données de l’expérience et leur utilité se trouve confirmée par l’expérience. D’autre part cependant, en réunissant les données de l’expérience, on se réfère à une théorie et on les exprime dans une langue relevant de la théorie. C’est pourquoi il n’y a pas, en physique, de concepts purement empiriques ou purement a priori, et, ce qui plus est, on n'est pas en état de définir d’une façon absolue les facteurs empiriques eft ceux a priori. II n’est possible que de fournir des indications à valeur relative.II en est de même lorsqu’il s’agit des thèses et des règles admises dans des systèmes physiques. Les propositions qui y apparaissent ne sont ni purement empiriques ni purement a priori. Un système scientifique est le resultat d’un dialogue spécifique qüi s’engage entre resprit et les faits. Ce dialogue se poursuit sur des plans différents et les aspects en sent varies. C'esi efinsi que se produisent des processus cycliques de la confirmation des thèses de même que le fait que les lots empiriques „enregistrantes” sont considérées comme des règles relatives à la prévision et à la reconnaissance des résultats de l'observation.II s’ensuit done que les éléments empiriques et les éléments a priori ne présentent aucune dichotomie, mais, tout au contraire, une gradualité, et ceci non seulement aux niveaux des concepts, des propositions et des structures, mais aussi pour ce qui est des différents types de disciplines. La physique contemporaine en offre peut-être l'exemple le plus éclatant. La distance de ses parties théoriques à ses parties descriptives n’est pas moindre de celle qui sépare les sciences formelles des sciences empiriques.
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Issue: 3
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Zagadnienie pochodzenia duszy ludzkiej a teoria ewolucji
Zagadnienie pochodzenia duszy ludzkiej a teoria ewolucji
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Roczniki Filozoficzne:
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Issue: 3
Leon Mońko
Leon Mońko
Czy się zbliżamy do sztucznej syntezy życia
Czy się zbliżamy do sztucznej syntezy życia
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Issue: 2
Jan Sieg
Jan Sieg
Nauki pomocnicze etyki robotników przemysłowych
The Auxiliary Sciences of Industrial Workers’ Ethics
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This kind of ethics occupies itself with workers’ rights and duties which are conditionated by their concrete situation in industry. Therefore the sciences of human labour in industry are very helpful for this discipline.Sciences applied to human labour have undergone considerable development and became independent. This has come about as a result of the peculiar situation of industrial workers which in turn is the effect of progress of rational labour organization. The development of hygiene? pathology and physiology of labour on the one hand and that of psycho- -sociology on the other, have contributed to the overleaping of tayloristic conception of how labour should be organized.It appears that such results are very interesting for ethics- Simulta- neuously ethics can complete these sciences of industrial labour, because they give to their fundamental propositions the value of a right.
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Issue: 2
Kamil Szymański
Kamil Szymański
O uprzejmości
De Affabilitate Doctrina et Conceptus Sancti Thomae Aquinatis
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Hoc in studio, ope doctrinae Sancti Thomae Aquinatis investigatur, quomodo concipitur et quid sit virtus affabilitatis?Inquisitio haec per sex partes evolvitur quarum unaquaeque suo speoiali titulo distinguitur.In prima ergo, scilicet in introductione quaestionis declaratur utile esse de affabilitate agere, cum haec semper ad perfectionem vitae so- cialis maxime inserviat. In-super designatur ratio huius investigations, sequente doctrina Sancti Thomae Aquinatis, qui nempe satis amplam materiam circa conceptum huius virtutis in suis Operibus contentus est.Secunda in parte inquisitionis detegitur fundamentum, genesis et methodus Sancti Thomae doctrinae et oonceptus affabilitatis.In tribus sequentibus partibus agitur iam proprie de natura huius virtutis, primo ergo venatur eius stricta definitio, secundo quaeruntur ceterae declarationes comparanda affabilitate cum virtutibus ei pro* pinquis et tertio cum ipsius vitiis contr arils.Ultimo, studium per modum conclusionum resolvitur. Ibique praeci- pue sublineatur, conceptum affabilitatis satis convenienter praecisum esse, quia per respectum ad inclinationem socialem naturae humanae declaratum. Tandem concluditur, ut homo ope scientiae de affabilitate studeat hanc virtutem ad praxim vitae socialis introducere.
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Issue: 2
Tadeusz Ślipko
Tadeusz Ślipko
Teoria wartości Przemysława Znamierowskiego
Theoria Valorum Secundum Znamierowski Przemysław
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Expositioni argumenti in articulo tractandi praemittitur brevis conspectus historicus ad illustrandam evolutionem idearum et systematum generalis theoriae valorum. In quo conspectu duplex in philosophia valorum distinguitur directio: metaphysica et empirica, quae ulterius in varias scholas et sententias dispescuntur.Principia theoretica, quibus prof. Znamierowski innitur suam theoriam valorum, demonstrant ilium in grege fautorum empirismi adnume- randum esse. Znamierowski etenim agnoscit exsistentiam solummodo en t i urn concretorum, nan admittit in homine substantiate substratum actuum corporalium et spiritualium, denegat demum intellectui humano cognitionem vere universalem et abstractivam, essentialiter diversam a cognitione sensitiva.Phaenomenon valoris, sec. sententiam Auctoris, est sui generis af- fectio vitalis hominis, quae proprie consistit non in cognitione notarum obiectivarum rei prouti exsistit a parte rei, sed in subiectivo, emotio- nali sensu felicitatis causato in percipiente ilium subiecto per determi- natum obiectum. Sensus iucundi dicuntur habere valorem positivum, non iucundi vero, abominandi, — valorem negativum. Vis interna, in virtute cuius homo erga valores istos attrahitur resp. avertitur, vocatur appulsio resp. repulsio. Propositioni autem, quae inservit ad exprimendum iudicium de positiva resp. negativa aestimatione valoris, tribuitur ab Auctore nomen „valorationis“.Valorationes variae distinguuntuir: s.d. compositae, creditales, syntheticae et mediatae. Omnes istae valorationes exbibent speciem rei sub variis eius aspectibus. Omnino diversam, sui generis valorationem constituit s.d. valoratio exsistentialis. Elementum specificum huius valorationis est id, quod obiectum eius constituit non species, sed exsistentia alicuius status optimi. Essentia igitur valorationis exsistentialis exprimitur ope affirmationis: „bene est, quod exsistit status rerum quem subiectum putat esse pro se optimum“ Haec „superlativitas“ valorationis exsistentialis actuat in homine tendentiam ad consequendum hunc praecise statum rei ideoque imprimit emotional! vitae hominis characteicm dynamicum et operosum.Ex valoratione exsistentiali originem suam ducunt regulae agendi seu normae morales, quarum complexus systerna ethicum constituit. Supremus valor ac simul ultima norma moralitatis in theoria prof. Znamierowski fundatur in sensu benevolentiae, ex quo ceterae normae effluunt variis vitae situationibus applicandae. Normae hae stabiles esse censentur exceptis determinatis casibus conoretis in quibus suprema norma benevolentiae oppositum suadet.In parte critica sublineantur defectus analysis affectionis valoris a Znamierowski factae, Affectio valoris praessupponit proprium fundamentum obiectivum i.e. obiectivam rei bonitatem in qua ratio valoris plene verificatur.
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Issue: 2
Krzysztof Kozłowski
Krzysztof Kozłowski
Charakterystyka filozoficznej definicji prawa
Caractéristique de la Définition Philosophique du Droit
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Après avoir constaté que la philosophie du droit est la science do l’essence du droit, l’auteur envisage les différentes façons possibles de le définir. II prend en considération la possibilité de définir le droit du côté formel, du côté du facteur promulgant et „per quatuor causas“. Ensuite sont analysés les courants qui dans la définition du droit mettent l’accent sur l'une des quatre causes et l’auteur montre l'imperfectian de telles définitions. II fant, selon lui, mettre en relief, dans la définition du droity les relations fondamentales qui lient une règle de conduite en tant qu'être concret.
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Issue: 2
Józef Majka
Józef Majka
Ekonomiczne a socjologiczne pojęcie przedsiębiorstwa
La Notton Economique et la Definition Sociologique de l’Entreprise
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Les discussions sur la réforme de l'entreprise révèlent, selon rauteur, les aspects sociologiques de ce problème et font entrevoir la nécessité de préciser les catégories sociologiques dans ce domaine. L’auteur se propose done de montrer les différences qui existent entre la conception économique et la conception sociologique de l'entreprise. L’analyse des définitions économiques décèle de grandes différences entre elles et e’est pourquoi l’auteur distingue trois types de ces définitions: 1° définitions abstraites; 2° définitions qui mettent en relief la fonction et la personne de l'entrepreneur; 3° définitions dans lesquelles l'enitreprise est conçue comme un certain ensemble de fonctions sociales. Cette dernière conception est la plus proche de la position sooiologique est eile peut servir de point de départ dans l'élaboration d’une définition sociologique de Pentreprise.Voulant trouver cette définition, rauteur analyse d’abord les fonctions secondaires particulières qui constituent la fonction sociale de l'entreprise. Après avoir attiré l'attention sur le fait que dans des sociétés modernes chacune de ces fonctions secondaires est rempiie par des personnes différentes et souvent nombreuses, l'auteur se voit amené à conclure qu’au sens sociologique l'entreprise peut être conçue de deux manières: a) comme un ensemble de fonctions (institution sociale); b) comme un groupement social de caractère particulier et dont la structure est spécifique. C’est à partir de cette dernière conception que l'auteur définit l'entreprise comme un groupement économiquement autonome composé de personnes qui tendeni consciemment — en i emplisisant des fonctions économiques multiples mais coordinnées — à produire de nouvelles valeurs économiques au moyem d’un où de plusieurs établissements.
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Issue: 3
Kazimierz Kłósak
Kazimierz Kłósak
Zagadnienie metody filozofii przyrody we wspołczesnej neoscholasty
Problème de la Méthode de la Philosophie de la Nature dans la Néoscolastique Contemporaine
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Il semble que la néascolastique philosophie de la nature, qui a derrière elle une période assez longue de divers essais et expériences dans le domaine de sa méthodologie, commence, dans les dernières dizaines d’années, à parvenir au sujet de celle-ci à une conception plus profonde, plus correcte et plus précise que celle dont elle se servait encore récemment. Il est difficile d’apprécier autrement la situation lorsque nous prenons en considération cette solution du problème de la méthode de philosophie de la nature que nous trouvons chez Jacques Maritain. Il est vrai que la solution de Maritain exige même dans sa dernière version un approfondissement ultérieur, et une précision d'idées sous le rapport de la rigueur et de l’expressivité de leur contenu, une plus grande élaboration ultérieure de l’argumentation prise en considération, néanmoins cependant cetite solution constitue un progrès réel par rapport à ce que sur le sujet de la méthode de philosophie de la nature soutenaient les anciens néoscolastiques comme Désiré Nys et J. Lemaire, ainsi que ce que soutiennent encore aujourd’ hir sur ce sujet leurs continuateurs — Pierre Hoenen, SJ Célestin N. Bittle, OFM Cap, Jules Seiler, Joseph Hellin, SJ Philippe Selvagi, SJ, et autres.Selon Maritain la philosophie de la nature devrait trouver un appui non dans les faits scientifiques „bruts“, mais dans les faits „philosophiques“, c'est-à-dire dans les faits de l’observation préscientifique et scientifique, lesquels ont été confrontés avec les premiers principes de philosophie afin de mettre en relief la teneur philosophique qui y est caché. La première question qui s’impose, quant à cette conception de la méthode de philosophie de la nature, c’est la question de la valeur objective de la division des faits du domaine de premier degré d’abstraction formelle sur les faits scientifiques et sur les faits „philosophiques“.Dans la conception de Maritain ces deux groupes de faits diffèrent d’une manière essentielle sous le rapport de la langue conceptuelle, qui sert à les exprimer* Si cependant il entie réellement en jeu dans les deux groupes une particularité de la langue conceptuelle, si, selon Maritain, les faits scientifiques se tient avec l’analyse empiriologique de la nature et les faits „philosophiques" avec son analyse „ontologique“, dans ce cas alors, si nous prenons en considération le sujet accepté par le penseur français pour l’une et l’autre forme d’analyse, nous devons dire, crue dans sa conception les deux groupes de faits diffèrent aussi dans l'aspect ontologique. Examinons de plus près la chose.Dans les faits scientifiques entrent en jeu les données qui reposent sans reste au niveau des aspects phénoménals de la nature. Ce sont certains arrangements des relations survenant entre les éléments de phénomènes déterminés, et dans ces arrangements des conditions on introduit dans les sciences de la nature, non seulement des processus qui s’accomplissent dans la nature, Mais aussi, asubstantialistiquement conçus, ses êtres composants jusqu'à l’homme inclusivement.Dans les faits „philosophiques“ se montrent, au contraire, les données, qui se concentrent sur l’essence des choses soumises au mouvement "physique, sur l'essence prise ensemble avec l’existence réelle et à l’appui de cette existence. Les faits „philosophiques“ se concentrent jusqu’ à un tel degré sur cette essence, que, si même il est question dans les cadres de la philosophie de la nature de phénomènes déterminés, on en tient compte dans la discipline citée, non pour eux-mêmes comme dans les sciences de la nature, mais comme une manifestation d’une telle ou telle essence.Si nous avons caractérisé correctement les deux groupes de données, qui, selon Maritain, reposent à la base, isolés par lui des faits scientifiques et des faits „philosophiques“, dans ce cas alors nous devons dire, que quoique selon l’opinion du thomiste français, les faits relatifs aux sciences de la nature et à la philosophie de la nature touchent les mêmes choses individuelles, mais cependant par rapport à ces choses se placent, ainsi ou autrement, sur deux typiquement différents niveaux d’existence, qui se laissent dégager en dépendance de la rencontre de deux modes différents d’existence, dont, conjointement encore avec d’autres modes d’existence, St. Thomas d’Aquin écrivait dans la première leçon de son commentaire du livre IV de la Métaphysique d’Aristote. Les faits scientifiques se tient avec les modes de l’existence accidentelle, surtout avec la manière de l’existence propre à la quantité. Leur liaison avec ce mode d'existence doit être nommée liaison au sens matériel, car le naturaliste, comme tel, ne sépare pas encore formellement ces modes d’existence accessibles à la réflexion philosophique, se bornant dans son point de vue phénoménologique à leur conception sous l’aspect de ce qui est donné pour ses méthodes de recherches, ce qui s’arrange pour lui dans l’emploi de ces méthodes sur le sujet, conçu comme le corrélât de la connaissance tendant vers une objectivité de plus en plus grande. Les faits „philosophiques“ se concentrent par contre formellement, directement ou indirectement, autour du mode substantiel d’existence. En définissant cette concentration comme formelle je veux marquer que dans leur cas le mode substantiel d’existence reste conçu en traits caractéristiques pour lui, quoique en restriction aux êtres soumis, dans telle ou telle étendue, au mouvement physique.Ayant accepté que les faits, dont parlent les sciences de la nature et la philosophie de la nature, se séparent d’entre eux, non seulement dans l’aspect conceptuel, mais aussi dans l’aspect ontologique, Maritain avait plein droit de traiter ces faits comme deux différents groupes de faits. Et nous aussi nous ne pouvons les juger autrement si seulement nous lions les faits relatifs aux sciences de la nature avec l’analyse empi- riologique et les faits relatifs à la philosophie de la nature avec l’analyse „ontologique“ avec cela que nous comprenons aussi l’une et T autre forme de l’analyse conceptuelle comme les comprend Maritain.A l’état de choses constaté par nous rien n’empêche que par suite de l’usage répandu dans les temps modernes de la réservation spéciale du nom „sciences“ entre autres pour les disciplines naturelles, de nommer conventionnellement les faits de leur domaine „faits scientifiques“. Quant aux faits du domaine de la philosophie de la nature, leur dénomination comme faits „philosophiques“ a un caractère trop général, car il s’agit ici seulement d’une catégorie de faits „philosophiques“. Néanmoins cependant nous pouvons garder cette appelation pas trop précise, vu qu’il est difficile d’exprimer le caractère spécifique des faits du second groupe, car nous appelons notre discipline philosophique „philosophie de la nature“.À présent quand examinant la valeur objective de la division admise par Maritain pour les faits de la sphère du premier degré de rabstraetion formelle, nous pûmes établir en quoi consiste la particularité spécifique des faits scientifiques et „philosophiques“, nous avons toutes les données nécessaires pour cela afin que nous puissions constater que Maritain en principe a raison, quand contrairement à de tels auteurs comme Nys, Bittle, Seiler, Heflin et Selvaggi, il réclame les appuis pour la philosophie de la nature non sur les faits scientifiques „bruts“, mais sur les faits „philosophiques“ bien que les motifs avancés par lui ne soient, peut-être, pas pleinement satisfaisants. Commençons à partir de ce dernier point.Maritain soutient que la philosophie de la nature pour cela ne peut sortir de faits scientifiques „bruts“ car de ce genre de faits on peut tirer uniquement des conclusions scientifiques et non philosophiques. Si cependant Maritain comprenait dans ce cas par les conclusions le résultat du raisonnement déductif dans lequel nous cherchons les conséquences pour les raisons qui nous sont donnés d’avance dans les propositions considérées par nous comme étant sûres, alors dans ce cas nous devrions dire que le thomiste français n’aperçoit pas que la forme dominante et en même temps la plus révélatrice de raisonnement dans les cadres de la philosophie de la nature c’est le raisonnement réductif, plus exactement, le dernier du point de vue de la discipline citée, une interprétation des faits „philosophiques“ déterminés, constatés, dans le domaine de la nature, et non le raisonnement déductif — une inférence dans le sens indiqué tantôt, dans laquelle inférence les conséquences logiques devraient avoir le même caractère, que possèdent les raisons. Si cependant Maritain a pris l’inférence au sens plus large, tel qu’il parlerait de l’inférence de la raison sur sa conséquence (inférence déductive) mais aussi de l'inférence de la conséquence sur sa raison (inférence reductive), alors nous devrions reprocher à Maritain ce que nous devons critiquer chez Nys, Norbert M. Tuyten OP, Hellin, Joseph de Tonquédee SJ, et Jaime Echarri SJ qu’il s’est borné dans ce cas à une trop générale caractéristique méthodologique de la philosophie de la nature. Cependant indépendamment de cela, si Maritain mérite le premier reproche avancé par nous, ou le second — cette chose n’est pas suffisamment claire — nous avouerons, que l’auteur en question, en principe touche juste à la chose, car en s’appuyant sur le principe que l’ordre des moyens doit répondre à l’ordre des buts, il affirme que les faits, dont se sert la connaissance dans le domaine de la philosophie de la nature, devraient appartenir avec elle à ce même ordre, donc devraient être des faits „philosophiques“.En passant à une présentation plus détaillée de la relation de la philosophie de la nature aux faits „philosophiques“ tirés de l’expérience préscientifique ainsi que de l’observation scientifique et de l’expérience scientifique, Maritain soutenait jusqu’à la publication des „Quatre essais sur l’esprit dans sa condition charnelle“ (1939) que la base suffisante pour la discipline citée, ce sont les faits „philosophiques“ du premier groupe. Quant aux faits „philosophiques“ du deuxième groupe, Maritain en jugeait à l’époque indiquée, qu’ils servent seulement comme affirmation supplémentaire aux faits „philosophiques“ déjà établis, au renouvellement et à l’élargissement de la base de sortie de la philosophie de la nature aux nouveax faits „philosophiques“, de permettre à une nouvelle exemplification pour ses idées et à sa libération de quelques naïves représentations. C’était donc plus ou moins la position rapprochée de celle prise entre autres par Joseph Gredt OSB, Gallus M. Manser OP, et Fernand Benoirte, ou celle que nous trouvons chez Charles Boyer SJ, chez Luy- ten, chez H.D. Gardeil OP, et chez J. de Toinquédee. En publiant „Quatre essais sur l’esprit dans sa condition charnelle“ Maritain a changé ses opinions, d’autant qu’il a commencé à soutenir, que nous n’aurions pas la philosophie de la nature, ou plutôt que nous la condamnerions du moins à un non-développement intérieur, si nous voulions l’appuyer sur les seuls faits de l’expérience courante avec l’omission de faits scientifiques soumis à la lumière philosophique.Ce changement d’opinions chez Maritain est très heureux. Même pour la philosophie moyenâgeuse de la nature, les données de l’expérience préscientifique, prises à la lumière philosophique ne pouvaient constituer une base suffisante à l’étude de tous ses problèmes. La certitude qu’il en était effectivement comme cela a commencé à prendre la voix chez Maritain même avant la publication du livre cité. Cette certitude se fait sentir à travers de justes énoncés sans doute, énoncés critiques du penseur français, publiés avant 1939, au sujet de la moyenâgeuse philosophie de la nature, que le renouvellement de la géométrie, commencé par Nicolas Lobaozewski et Jean Bolyai, nous oblige à épurer bien des notions concernant la quantité; que — en rapport avec la disparition, sur le terrain de la physique, de l’idée de la continuité de la matière — nous ne pouvons lier aujourd’ hui l’unité substantielle des individus charnels avec la dite continuité, mais dans • ce cas nous devons modifier ridée de l’unité substantielle en comprenant la relation transcendentale de la matière à la quantité comme une relation transcendentale à une constellation de positions; qu’en présence de ce que dit la physique de „l’organisation“ de l’atome, nous ne pouvons actuellement attribuer l’organisation à la seule matière animée, et c’est pour cela que par des traits caractéristiques distinguant un organisme vivant ils peuvent être pour nous uniquement un équilibre progressif, et une activité autonperfectionnante, immanente et que enfin les découvertes modernes concernant la structure de la cellule organique (surtout de la cellule-oeuf), des éléments sexuels, de la parthénogenèse artificielle, etc., apportent des précisions nouvelles de la plus grande valeur concernant 3 a manière dont on peut poser le problème, de réduction de l’âme végétative de la puissance de la matière. Quand, conjointement avec ces observations de Maritain, nous nous rappelerons la solution naïve de la philosophie moyenâgeuse se rapportant a l'origine de 3a vie dans le plan de causes efficientes seconders d’après laquelle solution certains animaux moins parfaits (quaedam animaiia imperfecta) naissent du processus putréfactif par suite de Faction d’une force active de corps célestes (ex putrefactione ... per virtutem activam corporis caelestis), nous aurons, comme on peut le juger, une base suffisante pour constater, que même la philosophie moyenâgeuse de la nature ne put parvenir à une suffisante étude critique d’une série de ses problèmes, parce qu’elle n’avait pas à sa disposition d'études naturelles nécessaires qui dans ces temps n’étaient pas encore entreprises.Et s’il en était ainsi avec la philosophie de la nature au moyen-âge, à plus forte raison aujourd’hui on ne peut, sans tenir compte largement des données des sciences de la nature, effectuer un travail quelconque de problèmes philosophiques qui n’existaient pas pour les philosophes moyenâgeux de la nature avec leur base d’experience courante, p. ex. le problème de l’essence et d'importance de l’énergie physique ainsi que son rapport à la matière, le problème de révolution des êtres vivants ou le problème plus particulier d’une liaison génétique du corps humam avec le monde animal. Quand nous savons actuellement comme une petite partie de la réalité constitue le monde de l’expérience courante, et comme sans comparaison plus étendue se trouve par opposition à lui le monde de l'expérience scientifique, nous ne pouvons entreprendre de problématique philosophique concernant, tout le cosmos, possible aujourd’hui a connaître, sans tenir largement compte de l'apport de la part des sciences de la nature. Si nous prenions en considération pour l'édification de la philosophie de la nature les seules données de l'experience préscientifique, non seulemenl nous appauvririons de beaucoup, d’une manière injustifiable, la problématique de nos recherches et nous perdrions l'occasion d’introduire de nouvelles lumières ainsi que de nouvelles solutions, mais nous nous exposerions a la surestimation de la valeur philosophique de ce que nous montre l’expérience courante, comme auss, à l'objectivation de notre point de vue subjectif, sans parler déjà que nous serions soupçonnés de fuir devant les difficultés avec lesquelles se rencontrent sur le terrain des sciences de la nature les anciennes formules philosophiques et d’un essai, raté d’avance, à vouloir sauver quelques opinions périmées Aujourd’hui même nous ne sommes pas en état de défendre ces thèses du domaine de la philosophie de la nature, pour lesquelles les anciens scolastiques avaient une base suffisante dans l’expérience préscientifique, conçue du point de vue philosophique, devant tous les reproches sans prendre en considération les acquisitions des sciences de la nature, car actuellement tous ces reproches sont puisés dans ces sciences. On ne peut oublier également que la scolastique philosophie de la nature, née à la base de l’expérience préscientifique et liée avec plusieurs fausses interprétations vulgaires, exige en cas de sa réception un vigilant contrôle critique auquel les sciences de la nature fournissent le plus de matériel décisif.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
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Issue: 3
Stanisław Kaminski
Stanisław Kaminski
Problem prawdy w fizyc
Problem prawdy w fizyc
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
9 >
Issue: 3
Leopold Regner
Leopold Regner
Indeterminizm w mechanice kwantowej a zasada przyczynowości w świetle filozofii św. Tomasza
Indeterminism in the Quantum Theory and the Rule of Causality in the Light of Saint Thomas Aquinas’ Philosophy
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The author of this paper tries to prove that the rule of the physical determinism is a logical consequence of the following three principles:1. The bodies are able to produce real effects.2. The determinate body A is able to produce in the strictly determinate whole of circumstances only one strictly determinate effect.3. If the determinate body A produces in the determinate whole of circumstances W the determinate effect S, every body which is entirely similar to the body A will be able to pioduce in the whole of circumstances entirely similar to that of W only one effect which is entirely similar to S.Saint Thomas pointed to the necessity of acknowledging the first of the above mentioned assumptions in his polemic woth Avicenna and Avicebron. The second assumptions is also acknowledged by the Aquinas. The third one, however, the principle of induction results from that of sufficient reason. As the rule of the physical determinism is the logical result of the three precedent principles, it is very difficult for the human reason to renounce this rule, in the spite of the fact that it has been questionned by the modern quantum theory. The incompatibility of the classic rule of the determinism with the assertions of the modern quantum physics has impelled the scientists and philosophers to search for the true meaning of the indeterminism in the quantum theory. The author enumerates the following lour classes of theories which claim to explain that meaning:1. The theories which obliterate the difference between observer and observed object.2. The theories which acknowledge that although the physical picture of the purely empirical world is not deterministic, the behaviour of the material being in itself is strictly deterministic.3. The theories which acknowledgethe indeterminism of the picture of the purely empirical world as well as that of the material being in itself.4. The theories which assert that the complementarity (i. e. the fact that the elementary material beings behave either as particles or as waves) implies the impossibility to apply to the wrorld of the elementary material beings the category of determinism as well as that of the elementary material beings the category of determinism as well as that of indeterminism either in general or at least in so far as these categories are applied to material beings of the macrocosm, i. e. to the particles perceivable with senses as individual and separate beings.The author demonstrates further that the theories of the classes (1) and (3) are inconsistent with the foundations of the philosophy of Saint Thomas. The theories of the class (2) are consistent with the philosophy of the Aquinas, but involve assumptions which are incompatible with the assertions of the quantum theory. Strictly speaking the theories of the class (4) do not solve the matter in question.The difficulty to solve this problem depends not only on the incompatibility of the assertions of the quantum physics with those of the philosophy, but also on the incompleteness of the quantum theory, because even the purely physical interpretation of its several assertions is still manifold.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
9 >
Issue: 3
Stanisław Mazierski
Stanisław Mazierski
Pojęcie determinizmu fizykalnego
La Notion de Determinisme Physique
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Le terme: „déterminisme physique“ n’est pas univogue. Par déterminisme on entend en physique: a) une théorie physique qui rend possible la prévision univoque des phénomènes; b) la thèse selon laquelle la nature est tellement ordonnée: un étât du système matériel au moment t| entraîne un autre état de ce même système au moment t2; c) un principe méthodologique qui fait chercher une régularité dans tous les faits physiques.Les procès ou les phénomènes sont déterminés, au sens physique de ce terme, lorsque la connaissance de l’état initial du système et des lois auxquelles il est soumis, permet de prévoir les états ultérieurs de ce système.Le déterminisme physique et la causalité physique ne sont pas des notions équivalentes et c’est pourquoi on ne peut pas les employer indi- iiéremment l’une pour l’autre. Le déterminisme est synonyme de la régularité des phénomènes. La causalité par contre exprime la dépendance réelle efficiente d’un phénomène d’un autre. Faute de distinguer entre ces deux notions dont le contenu est pourtant différent, on a été amené à identifier les rapports causaux avec les rapports fonctionnels.La découverte des phénomènes indélerministes n'a pas éliminé la causalité, mais elle a fait naître le besoin d’une notion modifiée de causalité, le besoin d'une notion plus générale.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
9 >
Issue: 3
Witold Mabciszewski
Witold Mabciszewski
O zależności stopnia konfirmacji od stopnia eksplikacji
On the Relation Between Explication and Confirmation
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The present paper is a contribution to inquiries concerning methods applied in philosophy. One of the main problems of methodology is tnat of certainty and probability. The point of view (different from the traditional one) is defended, that philosophy shares some amount of incertainty with other branches of knowledge, but this lack of certainty has other sources. Unlike in the sciences, the unique cause of incertainty is the insufficient explication of concepts (not the possibility of new facts, which are apt to destrue actual theories). Therefore some problems of philosophy cannot be definitively solved until the sufficient clarification of concepts is made. To this time the different solutions of question are only probable.The concept of probability is here introduced by the investigations on the difference between the sort of probability ascribed to proposi- sions and the another one ascribed to propositional functions. The latter is related to one class of things, while the former requires a relativisation to class of such classes. I.n one definite class the proposition is always true or false, never probable. These different classes of sets can be, for instance, the different extensions of one name, being equivocal or vague. We obtain these extensions when more than one explication of concept is made (each of them dependent of some intuition of meaning, more or less different from other meanings of the same term). Acceptance of some of these explications turns our expression in sentence which is true (fulfilled) in the class being extension of relevant concept, meanwhile the acceptance of other meanings renders this proposition false. So, until the meaning's are distinguished, the proposition is probable.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
8 >
Issue: 4
J. P.
J. P.
Z niemieckich wydawnictw naukowych
Z niemieckich wydawnictw naukowych
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79.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
8 >
Issue: 4
Antoni Sikora
Antoni Sikora
Myślenie wnioskotworcze dzieci w wieku szkolnym
Myślenie wnioskotworcze dzieci w wieku szkolnym
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80.
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Roczniki Filozoficzne:
Volume >
8 >
Issue: 4
Régis Jolivet
Régis Jolivet
La théorie thomiste de l’image de la mémoire
La théorie thomiste de l’image de la mémoire
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