La présence du terme «technique» dans les oeuvres des philosophes de l'Ecole Néoplatonicienne est assez limitée. Cela est dû à cause de la décadence des instutitions politiques durant la dernière periode de l'époque romaine et de l'époque byzantine précoce. Les Néoplatoniciens croient que la personne n'est pas mû par soijmême pour sa vie et il se contrôle par des pouvoirs qui interviennent effectivement dans la vie sociale. De cette façon, ils conclurent au résultat que la «technique» n'est peut pas fonctionner comme une intervention effective des hommes dans la démarche productive et dans la vie sociale. Le résultat est que leur pensée se dirige vers le divin. Ils considèrent que cela qui n'est pas réalisé dans le champ social, c'est possiple de se passer sous d'autres conditions au terrain métaphysique et que les pouvoirs divins sont les architectes authentiques qui forment ou modulent un système cosmologique des fonctions infaillibles.

This paper develops the meaning of a doctor in the wing of the Christian tradition, by starting the thesis from the best and first known physician in the New Testament: St. Luke. Then the premise he was even in a doctor is questioned. However, the whole paper continues to follow the symbolism St. Luke indubitably has not only as one of the Evangelists, but parallelly as a physician, so it then questions what such an expertise would mean when one of the establishing figures is attached to a particular profession. Medical effort is then connected to the notion of Christus medicus as a primary healer. From that point on, a question of the miraculous healing and its effect on human approach to God emerges. This problem occurs when freedom as a central to the acceptance of God’s deeds is installed. In this case, I discuss it on the grounds of a passage from The Grand Inquisitior. Finally, the problem of freedom in the multifaceted context of healing is to be circled in the discussion about the problematic positions both doctors and patients encounter, and ultimately medicine itself.