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121. Chôra: Volume > 3/4
Barbara Obrist Le démoniaque dans l'iconographie cosmologique du XIIᵉ siècle
122. Chôra: Volume > 3/4
Christian Trottmann Le dépassement de toute représentation dans le De Icona
123. Chôra: Volume > 3/4
Jean Jolivet L'image selon les Chartrains
124. Chôra: Volume > 3/4
Jean-Luc Solère L'image comme philosophème
125. Chôra: Volume > 3/4
Anca Vasiliu Racines platoniciennes pour une philosophie de l'image
126. Chôra: Volume > 3/4
Irene Caiazzo Sur la distinction sénéchienne idea/idos au XIIᵉ siècle
127. Chôra: Volume > 3/4
Dominique Poirel Les statuts de l'image chez Hugues de Saint-Victor
128. Chôra: Volume > 3/4
Meryem Sebti Intellection, imagination et aperception de soi dans le Livre du résultat (Kitāb al-Taḥsῑl) de Bahmanyār Ibn al-Marzūbān
129. Chôra: Volume > 3/4
Annie Yacob Les incidences de la camera oscura sur la peinture de Léonard de Vinci
130. Chôra: Volume > 3/4
Gérard Sondag Jean de Damas et Jean Duns Scot sur l'infinité de l'essence divine
131. Chôra: Volume > 3/4
Graziella Federici-Vescovini Image et représentation optique: Blaise de Parme et Léon-Baptiste Alberti
132. Chôra: Volume > 3/4
Kim Sang Ong-Van-Cung Les raisons d'agir sont-elles des représentations? Thomas d'Aquin et la philosophie de l'action
133. Chôra: Volume > 3/4
Alexander Baumgarten Possibilité et passivité dans la théorie aristotélicienne de l.intellect
134. Chôra: Volume > 3/4
Christophe Grellard Sicut specula sine macula. La perception et son objet chez Nicolas d'Autrécourt
135. Chôra: Volume > 3/4
Max Lejbowicz Optique instrumentale et iconographie
136. Chôra: Volume > 9/10
Francesca Alesse Dio, anima e intelligibili nella Stoa
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L’article analyse les témoignages stoïciens qui définissent la divinité comme «intellect» et comme «âme du monde», et qui permettent de déterminer les contenus de la pensée divine comme logoi, c’est-à-dire certains «discours» ou «raisonnements». En premier lieu, on examine les mots νοερόν, et νοητόν pour établir à quelles réalités les Stoïciens confèrent les caractères d’intelligence et d’intelligibilité et comment ils décrivent la pensée scientifique à laquelle ils comparent la pensée divine. En second lieu, on examine la théorie des raisons séminales et ses relations historiques avec le problème des objets de la pensée divine. Enfin, on tente de montrer que les Stoïciens, tout en suivant la théologie démiurgique du Timée, unifient ce que Platon a tenu bien séparé : le Démiurge lui-même, l’âme du monde, le «vivant intelligible».
137. Chôra: Volume > 9/10
Adinel‑Ciprian Dincă, Alexander Baumgarten Hic liber est incorrectissime impressus. A preliminary discussion of the Liber de Causis in mediaeval Transylvania
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L’article pose pour la première fois la question de la réception d’un texte essentiel pour l’histoire de la pensée européenne, le Liber de causis, en Transylvanie, aux confins de l’aire culturelle latine. Cette première tentative d’exploration se penche plus précisément sur un commentaire bien connu, appartenant à Thomas d’Aquin. Le commentaire, transmis sous une forme imprimée datant du 24 mai 1493, fait partie d’un volume composite qui se trouvait, aux alentours de 1500, dans la bibliothèque des frères dominicains de Sibiu/Hermannstadt (en Roumanie), volume qui comprenait en outre un traité aristotélicien de Walter Burley, également imprimé (daté 8 juillet 1488), et un exemplaire manuscrit de la Métaphysique. Les auteurs s’intéressent au contexte de la transmission du commentaire au Liber de causis et à la signification à donner à la note marginale manuscrite placée en début du commentaire de Thomas d’Aquin : «hic liber est incorrectissime impressus». Ce détail témoignerait d’une connaissance et d’une réception actives de ce texte par les dominicains transylvains de la fin du Moyen Âge.
138. Chôra: Volume > 9/10
Annick Charles‑Saget Le statut des âmes dans les Éléments de théologie
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Les derniers théorèmes des Éléments de Théologie de Proclus portent sur les âmes. La question que nous posons peut se dire ainsi : comment Proclus a-t-il pu, contrairement aux indications platoniciennes, insérer dans un écrit inspiré par la méthode mathématique, un développement sur les âmes? À quel prix cette méthode peut-elle être compatible avec l’espace du divin? On s’interrogera aussi bien sur les traits de l’essence des âmes qui peuvent être posés que sur ceux qui ne peuvent être atteints. Ce sont les limites de toute démarche processive qui seront ainsi soulignées.
139. Chôra: Volume > 9/10
Kim Sang Ong‑Van‑Cung Le moi et l’intériorité chez Augustin et Descartes
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It is somehow usual to grant that Augustine has given a former presentation of the famous argument of Descartes named the Cogito, and we ordinary think that the difference between the two authors is that the first one thinks of the inhabitation of Truth or Verbum, which transcends the ego. The paper is an attempt to think in a different way the sources of interiority in Augustine and Descartes. Based on Confessions and on De Trinitate, I trace the Greek sources of the scheme of the movement of return and elevation, which defines the reflection and the access to the interior through verbum mentis. The distance that Descartes takes with the notion of reflection, in his definition of the thought, indicates an important difference in their conceptions of the interiority.
140. Chôra: Volume > 9/10
Andrei Cornea La prénotion d’Épicure est‑elle d’inspiration platonicienne?
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The article calls in question the widely held opinion that Epicurus developed his concept of prolepsis as an empirical “alternative response” to the Platonic Forms. One tries to show that in fact the prolepsis and the Form produce two different types of knowledge and that their difference goes beyond the fact that the former is empirical while the latter is not: the prolepsis is based on recognition and strives to ascertain the identity of the perceived things, while the Form is based on recollection and seeks to know what their essence or nature is. Recognition and recollection are phenomenologically quite different. However, it is still possible that the Epicurean prolepsis was indebted to Plato, but it was the Plato of the Theaetetus and Philebus rather than that of the Meno and Phaedo. So one holds that Epicurus developed a somehow marginal Platonic epistemology to which he assigned a central and basic role in his own epistemology (the Canon).