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1. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Henryk Grossmann Die Wert-Preis-Transformation bei Marx und das Krisenproblem
2. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 1/2
Max Horkheimer Geschichte und Psychologie
3. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Gerhard Meyer Neuere Literatur über Planwirtschaft
4. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Theodor Wiesengrund-Adorno Zur gesellschaftlichen Lage der Musik
5. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Erich Fromm Die psychoanalytische Charakterologie und ihre Bedeutung für die Sozialpsychologie
6. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Julian Gumperz Zur Soziologie des amerikanischen Parteiensystems
7. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Andries Sternheim Zum Problem der Freizeitgestaltung
8. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 1 > Issue: 3
Franz Borkenau Zur Soziologie des mechanistischen Weltbildes
9. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Max Horkheimer Materialismus und Metaphysik
10. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Kurt Baumann Autarkie und Planwirtschaft
11. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Leo Löwenthal Conrad Ferdinand Meyers heroische Geschichtsauffassung
12. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 2 > Issue: 1
Georg Rusche Arbeitsmarkt und Strafvollzug: Gedanken zur Soziologie der Strafjustiz
13. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Max Horkheimer Bemerkungen zur philosophischen Anthropologie
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These critical remarks attempt to point out the role which modern philosophical anthropology can play in historical theories of the present day. In order to grasp correctly the historical tendencies of the present period, it is necessary to take into account the special characteristics of modern man. Modern philosophical anthropology is criticized by H. because it attempts to picture man in his fundamental essence as a permanent and unchangeable entity, instead of studying him from the viewpoint of a theory of historical change. Today it is necessary to emphasize the difference in human qualities between different social groups and to understand the interconnection between the changes of human types and the whole social development. But philosophical anthropology attempts to consider the essence of man as permanent and independent of historical change, and thus to impart meaning to individual and social life. In this way it proves its relationship to metaphysics and religion. In contradiction to this, H. indicates the results that might be achieved on the basis of an historical approach. He shows how the attitude of modern man towards contracts has changed in the last decades ; how the principle of equality has taken on an entirely different meaning ; how the human qualities of sympathy and understanding change their essence and their functions and are being transferred from one social group to another.Pour saisir exactement les tendances historiques de l'époque actuelle, il est nécessaire de tenir compte aussi du caractère propre et des transformations des hommes d'aujourd'hui. L'anthropologie philosophique moderne est critiquée par H. parce qu'elle cherche à dessiner une image éternelle de l'homme, alors que les études anthropologiques devraient être pénétrées d'esprit historique. Alors qu’il importe aujourd’hui de dégager les différences des qualités humaines dans les divers groupes sociaux, de comprendre le lien des transformations des types humains et de l’évolution de la société dans son ensemble, l’anthropologie philosophique veut fixer une fois pour toutes l'essence de l’homme et donner par là un sens à l’existence individuelle et sociale. Elle montre ainsi qu’elle est solidaire de la métaphysique et de la religion. H. oppose à cette méthode une recherche anthropologique qui serait orientée aux problèmes historiques, et il donne quelques indications sur cette anthropologie. J1 montre comment l’attitude de l’homme actuel à l’égard des engagements et des traités s’est transformée dans les dernières dizaines d’années, comment la categorie d'égalité comme détermination des hommes prend des significations toutes différentes, comment les qualités humaines de compréhension et de sympathie changent de nature et de fonction, passent d’un groupe social à un autre.
14. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Ferdinand Tönnies Das Recht auf Arbeit
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Discussing the new book of Bosse, the author studies the significance and foundation of the so-called „right to work“. In contradiction to Bosse's ideas, the significance of the „right to work“ seems to the author to be essentially a matter of social legislation, and he thinks that the first step in its realization would have to be a further development of the system of social insurance. According to T., the „right to work“ is one of the most advanced ideas in social legislation, an idea that was brushed aside immediately after the counter-currents of today asserted themselves.Dans une discussion du nouveau livre de Bosse, Tauteur recherche la signification et le fondement de ce que Ton appelle „le droit au travail“. En opposition avec Bosse, il lui semble que le contenu du droit au travail est essentiellement un problème de politique sociale et un plus grand développement du système d’assurances est à ses yeux le meilleur moyen d’aborder ce problème. Tönnies tient le droit au travail pour un des postes les plus avancés d’une politique sociale progressive, poste qui a été emporté tout d’abord par le courant contraire qui domine actuellement.
15. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Kurt Mandelbaum Neue Literatur zur Planwirtschaft
16. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 2
Henryk Grossmann Die gesellschaftlichen Grundlagen der mechanistischen Philosophie und die Manufaktur
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Le livre de Borkenau, „Der Übergang vom feudalen zum bürgerlichen Weltbild“ développe une nouvelle théorie de la naissance de la pensée moderne. Il s’attache à rechercher l’origine, moins de telles ou telles idées particulières que des concepts fondamentaux et des méthodes de penser de l'époque moderne. Borkenau considère avant tout la représentation mécaniste du monde telle qu'elle a été fondée dans la philosophie de Descartes et de ses successeurs comme décisive pour la pensée moderne et il élucide ses conditions sociologiques.L'étude de Grossmann part du livre de Borkenau qu'il soumet à la critique et il essaye d'indiquer de manière indépendante une meilleure voie qui mène à la compréhension de la formation de la pensée bourgeoise. Ses arguments se rapportent avant tout à deux groupes de problèmes. D'après Borkenau, c'est au début du xvne siècle que la conception mécaniste du monde l'a emporté sur la philosophie qualitative qui régnait auparavant. Cette interprétation est jugée par Grossmann comme une méconnaissance de l'histoire réelle des idées et des faits. L'origine des questions fondamentales de la mécanique doit être cherchée à la Renaissance et Léonard de Vinci est un de ses créateurs. Ces théories nouvelles, dégagées en grande partie de l'étude des machines de son temps, se sont développées par différentes voies jusqu'à Galilée et Descartes, dont les doctrines ne marquent donc pas le début de la pensée mécaniste.L'autre critique fondamentale est étroitement liée à celle-ci. Elle concerne l'explication que donne Borkenau de la représentation mécaniste. Si celle- ci a pris naissance au xvne siècle, la condition essentielle de cette réalisation doit donc s’être produite à peu près à cette époque. D'après Borkenau cette condition serait la diffusion des manufactures. Avec la division de l'activité artisane en activités uniformes non qualifiées à l'intérieur de la manufacture, serait né le concept d'un travail social abstrait. La décomposition du processus de travail en mouvements simples dans la manufacture aurait rendu comparables les heures de travail. Le calcul avec du travail abstrait constituerait la base de la représentation mécaniste du monde. Grossmann montre en s'appuyant sur Marx que le plus souvent il ne saurait être question de division de travail dans les manufactures, mais que, en règle générale, des artisans qualifiés travaillaient réunis dans un même local. Ce n’est pas le calcul avec les heures de travail, mais l'évolution du machinisme qui aurait été la cause immédiate de la mécanique scientifique. Cette genèse remonte sans doute à la Renaissance et a très peu à faire avec les manufactures qui ont été finalement refoulées par l'industrie des machines.Alors que Borkenau, lorsqu'il vient à parler du conditionnement social des philosophes et des savants, remonte surtout aux batailles des partis politiques, Grossmann ne voit dans les partis qu’un facteur de l'ensemble de la situation complexe, à partir de laquelle s'explique le mouvement des idées modernes. Une théorie suffisante de l'évolution de la pensée moderne implique qu'on tienne compte de la totalité des forces sociales.Franz Borkenau's book „The Transition from Feudal to Modern Thought“ („Der Übergang vom feudalen zum bürgerlichen Weltbild“), serves as background for Grossmann's study. The objective of this book was to trace the sociological origins of the mechanistic categories of modern thought as developed in the philosophy of Descartes and his successors. In the beginning of the 17th century, according to Borkenau, mechanistic thinking triumphed over mediaeval philosophy which emphasized qualitative, not quantitative considerations. This transition from mediaeval and feudal methods of thought to modern principles is the general theme of Borkenau's book, and is traced to the social changes of this time. According to this work, the essential economic change that marked the transition from mediaeval to modern times was the destruction of the handicraft system and the organization of labor under one roof and under one management. The roots of the change in thought are to be sought here. With the dismemberment of the handicraft system and the division of labor into relatively unskilled, uniform, and therefore comparable activities, the conception of abstract homogeneous social labor arises. The division of the labor process into simple, repeated movements permits a comparison of hours of labor. Calculation with such abstract social unities, according to Borkenau, was the source from which modern mechanistic thinking in general derived its origin.Grossmann, although he considers Borkenau’s work a valuable and important contribution, does not believe that the author has achieved his purpose. First of all, he contends that the period that Borkenau describes as the period of the triumph of modern thought over mediaeval should not be placed at the beginning of the 17th century, but in the Renaissance, and that not Descartes and Hobbes but Leonardo da Vinci was the initiator of modern thought. Leonardo's theories, evolved from a study of machines, were the source of the mechanistic categories that culminated in modern thought.If Borkenau’s conception as to the historical origin of these categories is incorrect in regard to time, Grossman claims it follows that it is incorrect also in regard to the social sources to which it is ascribed. In the beginning, the factory system did not involve a division of labor into comparable homogeneous processes, but in general only united skilled handicraftsmen under one roof. The development of machinery, not the calculation with abstract hours of labor, is the immediate source of modern scientific mechanics. This goes back to the Renaissance and has relatively little to do with the original factory system that was finally superseded by the Industrial Revolution.While Borkenau, in tracing the social background of the thought of the period, relies chiefly on the conflicts and strife of political parties, Grossmann regards this as one element only in the formation of the general social situation, which in its entirety and in the interaction of its elements explains the development of modern thought.
17. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 2
Walter Benjamin Probleme der Sprachsoziologie
18. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 2
Max Horkheimer Nachbemerkung
19. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 3
Max Horkheimer Zum Problem der Wahrheit
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The two opposing trends of dogmatism and relativism pervade the thought of the last few centuries. They are as irreconcilable in public opinion as in the different philosophical systems that embody these attitudes as two separate and conflicting elements.Frequently we find united in the same system of thought a tendency to doubt everything, to qualify and limit every statement, to penetrate by an insistent critique to the fundamentals, and at the same time an inclination towards naive faith in everything and blind subjection to conceptions and ways of thought that have been made absolute. This phenomenon has its roots in the social conditions of the time : while the capabilities of the individual were being developed with the material wealth of society, the same process involved at the same time a growing instability und uncertainty.In the philosophical system of Kant which is given short consideration, this dual relationship to truth was given characteristic expression. Hegel with his dialectic attempted to overcome this opposition. He recognized that each single system of thought is historically conditioned, yet that it nevertheless is part and parcel of the all-embracing totality of knowledge. Hegel, however, declared the totality of a definite historical period, namely his own philosophy, to be the total and absolute truth, and thus fell back into a new type of dogmatism. At the same time, his teachings acquired a relativistic aspect, because his standpoint, which he declares transcends history, makes all particular ideas and purposes appear equally relative.The essay proceeds to analyze the consequences which result from freeing dialectics from the metaphysics of the absolute, and develops the conception of an ever progressing dialectical thought. Confirmation here becomes an all-important criterion of truth, and a distinction is drawn between this concept and the concept as it appears in modern pragmatism. Further, the difference between traditional and dialectical logic is explained. Finally the religious philosophy of Troeltsch is used to illustrate the dual relationship to truth that was characteristic of the last period, and, in this way, a further clarification of the principles of dialectical thought is attempted.L’opposition du dogmatisme et du relativisme traverse la pensée des siècles derniers. Ce n’est pas dans la conscience collective seulement, mais aussi à l’intérieur des systèmes philosophiques qu’on retrouve juxtaposées et non reconciliées ces deux conceptions, ces deux attitudes opposées. D’un côté le doute poussé à son point extrême, la tendance à limiter la validité de toute affirmation, la critique pénétrante, de l’autre l’adhésion à une foi naïve et la soumission aveugle à des concepts portés à l’absolu ou à d’autres instances : ces démarches contradictoires caractérisent souvent la doctrine du même penseur. Il convient de chercher les origines sociales de ce phénomène dans le fait que, pour l’individu, le développement de ses capacités était lié à une insécurité permanente. Après un rapide exposé du système Kantien dans lequel cette double relation à la vérité s’exprime d’une manière particulièrement nette, l’article montre dans la dialectique de Hegel la tentative la plus grandiose pour surmonter cette opposition. La méthode dialectique reconnaît que tous les points de vue sont conditionnés, mais, en même temps, elle conserve chacun d’eux en le mettant à sa place dans le tout de la connaissance. Mais comme Hegel donne cette totalité à une certaine phase historique, à savoir sa propre philosophie, comme la vérité absolue, il retombe dans un nouveau dogmatisme. Du même coup le relativisme s’attache aussi à sa doctrine, car son point de vue qu’il tient pour suprahistorique, rabaisse également toutes les idées, tous les buts déterminés au niveau du relatif. L’article étudie ensuite les conséquences qui se produisent si l’on détache la dialectique de cette métaphysique de l’absolu, puis développe l’idée d’une pensée dialectique ouverte. Dans une telle pensée, la notion de confirmation (Bewährung) en tant que critérium de la vérité, joue un rôle important. Dans une discussion avec la théorie pragmatiste moderne de la connaissance, H. tâche d’élucider ce concept. A partir de là, il expose la différence entre la logique traditionnelle et la logique dialectique. A la fin H. illustre l’attitude contradictoire à l’égard de la vérité qui caractérise la dernière période de l’histoire, par exemple la philosophie de la religion de Troeltsch, et il confronte cette dernière avec la manière dialectique de penser.
20. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 3
Erich Fromm Die gesellschaftliche Bedingtheit der psychoanalytischen Therapie
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The result and the duration of an analysis depend on how quickly a patient succeeds in penetrating the resistance which prevents the unconscious data from becoming conscious. In addition to the fears that the patient brings with him into the analysis, the attitude of the analyst is a factor strengthening or weakening the fears and, therefore, the resistance. It is not primarily relevant here what the analyst says or thinks consciously, but whether he unconsciously accepts the patient and his claim to happiness unconditionally. Freud s attitude towards the patient might be characterized fundamentally as „tolerance“. He recommends facing the patient indifferently and coolly. The essay proceeds to demonstrate that this conscious liberalism involves unconsciously a strict repudiation and rejection of those impulses which are tabooed by bourgeois society, especially the sexual ones. Therefore, Freud in his authoritarian and patricentric character must be recognized as a typical representative of a society, which demands obedience and subjection. This attitude creates in the patient, despite its liberalism, new fears which make it more difficult to overcome the resistance and, therefore, blocks the success of the analysis.The liberal tolerance represents at the same time a conscious relativism towards all values and an unconscious recognition of the taboos of bourgeois society. To utilize the Freudian therapy in the best possible way, it is necessary to connect it with an independent philosophy to accept unconditionally the patient’s claim to happiness and eliminating from all valuations the taboos and abstract traits. Le succès et la durée de l’analyse dépendent de la rapidité avec laquelle le malade réussit à briser la résistance qui empêche les réalités inconscientes de parvenir à la conscience. Abstraction faite des angoisses avec lesquelles le malade arrive à l’analyse, l’attitude de l’analyste est elle-même un facteur susceptible de renforcer ou au contraire d’affaiblir les angoisses et, par suite, la résistance. Ce qui importe en première ligne ce n’est pas ce que l’analyste dit ou pense consciemment, l’essentiel est de savoir si, inconsciemment aussi, il prend une attitude entièrement favorable à T égard du malade et de la prétention au bonheur de celui-ci. L’attitude de Freud à l’égard du malade peut être caractérisée d’abord par le mot de „tolérance“. Il recommande de ne pas porter de jugements de valeur, d’être indifférent et froid à l’égard du malade. L’article montre que derrière ce libéralisme conscient se cache un refus brutal, une condamnation des désirs qui sont en opposition avec les tabous de la société, spécialement les tabous sexuels. En même temps Freud se révèle un représentant typique de la société actuelle par son caractère autoritaire „patrocentrique“ qui réclame obéissance et soumission. Cette attitude, en dépit de son libéralisme conscient, crée au malade de nouvelles angoisses qui augmentent la difficulté de l’effort pour surmonter les résistances et ainsi rendent plus difficile le succès de l’analyse.La tolérance libérale avec son double visage, relativisme conscient à l’égard de toutes les valeurs et respect inconscient des tabous bourgeois, marque les limites de la thérapeutique analytique. La mise en valeur maximum de la thérapeutique Freudienne ne serait assurée que si elle était liée à une philosophie indépendante. Accepter inconditionnellement l’exigence du bonheur du malade, dépouiller toutes les valeurs de leur caractère tabou et abstrait constitueraient les traits essentiels d’une telle mise en valeur.