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1. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
M. Reale Diversite des cultures et conception du monde
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PLURALITY OF CULTURES AND WORLDOUTLOOKAfter pointing out the multifaceted character of the word “culture”, the author declares that he intends to analyse the subject according to two comple- mentary angles: one related to the researcher himself, the other to the term “culture” in its broad philosophical and anthropological sense.In conformity with the first of these two perspectives, every culture is personal in the sense that, even when dealing with physical and mathematical Sciences, these are closely related to each researcher’s personality and therefore to his theoretical points of view. The existence of such postulates, necessarily axiological, is recognized in all the fields of knowledge by the present “Theory of Knowledge” and one may say that every man is a point of view on the world. In a certain way it is a return to Leibniz’s thesis, according to which each monad is a mirror that reflects the universe.It is not however necessary to conceive each monad as an “ens a se” unre- lated to the others. The isolation of the individual cultures would not be under- standable nowadays due to the growing demand of interdisciplinarity in the various fields of investigation. It is in the light of this that the universality of Problems should be tackled and any aim at reaching an “encyclopedic knowledge”, as a mere sum of results, should be rejected. It is rather in a System of multiple perspectives which transcends any false reductionism that a correlation between imago hominis and imago mundi is established.The author asserts that it is necessary to transpose the question, as Heidegger had already out, from the epistemological to the ontological plan, taking into consideration the concrete temporaüty of the various cultural areas over which the humanity is distributed.He Claims that what interests him in the present study is not the succession of cultures but its contemporariness in the sense that Croce attributed to this term. The author focuses preferably on the distinctions and correlations among the ones which, according to Archie J. Bahm, would be the fundamental cultures of our time: the European, the Indian and the Chinese. He does not seem to accept any concept of the world when there is an abstraction of the deepest roots of each cultural process, also because of the different meaning that ideas acquire when theoretical European models are transposed to other cultural contexts. From this derives the interest represented not only by the compara- tive study of cultures, in an empirical and scientific level, but also by the philosophical investigation of their values and structures, which has led some thin- kers to consider the possibility of a “ comparative philosophy” which is different from the comparative study of different philosophies. The author discusses, then, nihilism as a consequence of the deforming action of technology (Heidegger) in parallel with the concept of McLuhan’s “tribal society”. At last he asks if the growing demand for interdisciplinarity, besides reopening the debate about the possible unity of Sciences, does not bring up old and apparently resolved questions about the nature of men, with the corresponding investigation of the meaning of Science for mankind. Accor- ding to what has been exposed, the question of the concept of the world, without losing its epistemological focus, because of the diversity and conple- mentarity of the areas of knowledge, goes back to the ontological principles which condition not only the anthropological view but also the cosmological, which are correlated aspects of the same fundamental question. Thence, the author’s conclusion that the concept of the world cannot derive only from complementary results of the various Sciences because it is also an interaction between cultures. 104
2. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
C. F. Manara Succès et limites de la mathematisation
3. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
F. Miro-Quesada Peut-on fonder scientifiquement les normes?
4. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
S. Cotta Le problème de la justification scientifique des normes
5. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
J. Hersch D’ou la Science tire-t-elle son sens?
6. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 1
Jean Ladrière Raison scientifique et raison a-scientifique
7. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Alwin Diemer Preface
8. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Stefane Anguelov Morale et science
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L'appréhension spirituelle du inonde s’éffectue sous des formes spécifiques bien déterminées, parmi lesquelles l’attitude scientifique et appréciative envers le monde occupe une place prééminente. Ces deux attitudes sont en même temps différentes et unitaires. Leur différence est déterminée par le mode d’appréhension spirituelle du monde, ainsi que par leur importance fonctionnelle. Mais ces deux approches de la réalité - l’attitude scientifique et l’attitude axée sur la valeur, - loin de s’exclure mutuellement, s'interpénètrent. L’appréciatif et le scientifique,le normatif et le factuel sont deux aspects de l’appréhension spirituelle unitaire du monde.
9. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Ivanka Apostolova Essai d'analyse philosophiaue du rapport physique-biologie
10. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Joseph Borgoss La révolution scientifico-technique et ses interpretations extrêmes
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En conséquence de cette révolution surgit le "thiers monde": le monde de la technique qui s'est glissé entre le monde de la nature et l'homme, fin effet la division dychotomique de la réalité en monde de la nature et en monde de l'homme et ce qui en résulte division dychotomique des sciences en Naturwissenschaften et Geistenwissensehaften, a été remplacée par une division trychotomique: le monde de la nature, de la technique, de la société. Au moment où ce "thiers monde" a révélé son ambivalent caractère-negatif et positif, ont apaaru ses deux extrêmes interprétations: faustique /catastrophique/ et ludique /absolument optimiste/.
11. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Jacques D'Hondt Raison scientifique et raison technique
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On croit parfois lever l'opposition entre science et technique en les réduisant l'une à l'autre. Dans d'autres cas, on souligne leur complémentarité ou leur solidarité. Ces tentatives n'aboutissent pas à une véritable unification. Celle-ci requiert en effet que soit surmontée la séparation absolue du sujet et de l'objet, d’où proviennent les autres ruptures. Mais l'identité du sujet-objet dans une raison que l'on pourrait appeler "praxique", implique une dialectique et un monisme dont la raison scientifique et la raison technique, habituellement, se méfient.
12. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
J. M. Delgado-Ocando Sur le fondement scientifique des normes juridiques
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Entre le-niveau normatif (Sollen) et le niveau ontologique (Sein) existent des rapports dialectiques, qui constituent un systems social ouvert» La science du droit explique et comprend le niveau normatif avec la coopération des autres disciplines (sciences de la nature et de l'homme), dont l'objet de connaissance c'est le niveau ontologique. Une modalité importante de la philosophie du droit présente (théorie de la nature des choses) cherche à concevoir l'essence du droit comme l'expression normative du niveau des rapports sociaux.
13. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
André Galimberti Les deux langages de la biologie et leur raison d'etre
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L'étude de l'écorce cérébrale a fait vieillir les termes dans lesquels se posait, non seulement la querelle du vitalisme et du mécanisme, mais la notion même de "fonctions organiques". Le biologiste, pourtant, continue de parler 2 langages, l'un physico-chimique et l'autre téléologique. Quelles raisons a-t-il de le faire? Renvoyer à la sémantique, ce n'est pas encore résoudre ce problème. La notion téléologique des fonctions organiques a un rôle à jouer, étant le trait d'union entre l'intelligence humaine et ce qu'on conçoit comme la réalité naturelle.
14. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Judith Graciela Garcia Caffarena Portée de la mathématisation comme véhicule de la conception scientifique de l'univers
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L'auteur analyse las différentes formes d'interpréter la réalité, saurtout la scientifique, en y détachant le rôle prépondérant que les Mathématiques, la Physique et la Technique ont joué et jouent encore pour elle, tout en rappelant ses limitations naturelles. Elle fait des affirmations concrètes dans le domaine de la Coomunication en général et particulièrement dans celui le la Linguistique, remarquant les tentatives manquées de mathématisation dans le domaine de la réalité culturelle. Finalement formule le voeu d'une intercollaboration hiérarchisée de toutes les Scienoes, comme l'expression fidèlement intégrale de la réalité universelle.
15. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Roland Guyot Le double rapport avec le monde dans la philosophie de Maurice Pradines
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Les Idées de Pradines (1874-1958), paraissent pouvoir donner un sens à de rérentes découvertes. Ainsi, dans le cadre de la grande théorie commune à Mac Lean, à Laborit et au philosophe sur la genèse du système nerveux en 3 étapes inscrite dans les 3 régions du cerveau humain, la distinction des 2 sensorialités de défense et d'appropriation pourrait expliquer le décalage évolutif entre la zone limbique et la zone néocorticale. Deplus, cette dichotomie sensorielle expliquerait que la conscience humaine, à la fols âme et esprit, soit liée intellectuellement et affectivement à 2 mondes, celui des participations auquel elle est môlée, celui des oppositions dont elle est exclue. En réformant la théorie de la connaissance de fond en comble, Pradines a donné une nouvelle impulsion à la Philosophie et à la Science.
16. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
B. M. Kedrov Sur un système globale des sciences
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Le système des sciences ne peut être globale qu'à la condition d'incorporer non seulement les sciences fondamentales mais aussi les sciences techniques et appliquées. Pour expliquer cette incorporation nous proposons de tenir compte non Seulement du moment objectif mais aussi du moment subject (les objectifs pratiques de l'utilisation d'un objet étudié). En répondant aux questions: qu'est-ce qu'on étudie?, comment on étudie? pour quel but on étudie? nous découvrons l'accroissement de la proportion du moment subjectif ce qui permets à dresser un système globale des sciences.
17. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Jerzy Kmita La norm du neutralisme axiologiaue méthodologique
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Selon la norme du naturalisme axiologique méthodologique dans les recherches des sciences humaines la pertinence axiologique des évaluations - en raison de quelconque ordre évaluant - ne devrait avoir aucune influence sur son acceptation ou son rejet scientifique; il convient de soumettre les évaluations au contrôle en raison exlusivement de ce qu'elles communiquent au mode descriptif. La norme ci-dessus s'oppose à la norme de l'axiologisme absolu du antinaturalisme méthodologique. Elle est aussi en désaccord avec le point de vue des positivistes.
18. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Grasia Marchiano Prefiguration d'une entente possible entre le concept de connaissance dans la pensee indienne ancienne et son equivalent dansla pensee occidentale moderne
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Dans la recherche scientifique contemporaine bien plus que dans les modernes philosophies de l'existence il est possible de préfigurer une entemte entre ces deux conepts antithétiques de connaissance: celui de connaissance objective, selon la pensée occidentale moderne, et celui de connaissance subjective, selon les anciens systèmes de philosophie de l'Inde. Cette entente pourra aboutir à un convergence entre la science objective et la science de l'intériorité, entre ce quel les Upanishad désignemt comme "le champ" par rapport au "connaisseur du champ".
19. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Celina Ana Lértora Mendoza Sur les propositions scientifiques et philosophiques
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Possibilités de distinction entre propositions scientifiques et philosophiques méthodologiques, systématique, subjective et par le caractères proposition nel. Se réduisent toutes a la première. Tous deux types propositionnels coïncident en être descriptifs de la réalité, mais ils différent dans sa forme vérificative. Les propositions philosophiques sont explications rationnelles pas vérifiables et sans niveau prédictif; elles ne sont pas réfutables sauf formellement. Elles coïncident avec les scientifiques en être explication rationnelle déductif contrastatoire et c'est pour cela qu'admittent approximations et convergences thématiques. D'autres formes "philosophiques "si bien que possibles, elles n'ont pas de regies définies de corrélation et c’est difficile les discuter rationnellement.
20. Der 16. Weltkongress für Philosophie: Volume > 2
Gevanghelos Moutsopoulos La raison esthetique
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L’idée d’équivalence du vrai, du beau et du bien n’est pæ totalement absente du subjectiviens kantien. La raison esthétique/qui forme un aspect particulier de la raison tout court, a ses. propres principes, ses propres exigences, ses propres critères. Les uns et les autres forment l’armature moyennant laquelle la conscience est en mesure d’envisager, d’apprécier et de conprez dre des données qui constituent des problèmes qu’elle consent à se poser sur un plan bien particulier.