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1. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Résolution Finale de l’Assamblée Constutive de La SOCIÉTÉ EUROPÉENNE DE CULTURE
2. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Adresse aux intellectuels votée à l’unanimité par la première Assemblée Générale Ordinaire, réunie à Venise du 8 au 11 novembre 1951
3. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Lettre aux autorités politiques votée à l’unanimité par la première Assemblée Générale Ordinaire
4. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Résolution Finale votée à l’unanimité par le deuxième Assemblée Générale Ordinaire
5. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
M. Campagnolo-Bouvier, Arrigo Levi, Vincenzo Cappelletti Les crises de notre présent et la référence éthique. Appel au dialogue
6. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Texte voté à l’unanimité par la quatrième Assemblée Générale Ordinaire
7. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Résolution Finale votée à l’unanimité par la troisième Assemblée Générale Ordinaire
8. Dialogue and Universalism: Volume > 17 > Issue: 5/6
Résolution Finale votée à l’unanimité par la sixième Assemblée Générale Ordinaire
9. History of Communism in Europe: Volume > 1
Jean-Claude Polet Histoire, Mémoire et Eschatologie
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History, as part of the “humanities department”, establishes facts, by way of investigating the sources. However, historians also pass a judgement over the moral attributes of past events. Given that the act of memorialisation is always incomplete, could one envisage an ideal horizon where justice and forgiveness are simultaneously restored? This eschatological perspective would require the reunion of past, present, and future tense. Without future, there is no hope. Without past, there is the risk of amnesia and the danger of minimizing the facts, actions, and responsibilities of the perpetrators against their victims. The present, in its turn, must be made fertile through the practice of recognition and repentance. It is only repentance that breaks through the iron cage of hatred and revenge (“eye for eye, tooth for tooth”). Peace is the event whereby reconciliation is enacted freely, by an appropriation of the past without external compulsion. Seen from an eschatological perspective, history and memory come to serve the common good.
10. History of Communism in Europe: Volume > 1
Mia Jinga Orlando Figes: Les chuchoteurs: Vivre et survivre sous Staline
11. History of Communism in Europe: Volume > 10
Svetlana Dimitrova Universitaires « de l’Est » face au politique après 1989
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The politicization of the intellectuals in the early 1990s now seems like a closed chapter in the history of the Eastern Bloc. Political life became more regulated before experiencing the entry of “unexpected” actors, labeled as “populists”. The academics’ political commitments, movements or believes have been interpreted as expression of “dissidence”, after 1989. The question of resistance, dissidence or opposition to the Soviet‑type socialist regimes caught the attention of many researchers. The social scientists became particularly interested in peripheral presentations and written productions, as intellectual alternatives to the official line (Samizdat, seminars or movements). Most of the studies insisted on the political repercussions of these actions, living little doubt on the inherent political sense they carried. Does this heritage, developed over the past three decades, shape the present relation to politics? This article aims to question the relationship that two generations of academics have with politics. Particular affiliations impacted the processes of political and academic transformations. The analysis, based on research carried out in Bulgaria, aims to shed light on the dynamics that cross the “post‑socialist” space and time.
12. History of Communism in Europe: Volume > 2
Nataliya Hristova Des masques à la mascarade. Les intellectuels bulgares et les défis de la memoire sociale (Milieu des annees 1950 – fin des années 1990)
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L’article analyse les différentes attitudes des représentants de l’Intelligentsia bulgare (notamment des écrivains) des le milieu des années 1950 et jusqu’a la fin des années 1980, et leurs comportements publiques durant la premiere décennie post-socialiste (les années 1990).Le choix des personnages est non seulement « subjectif » (expliqué par le désir d’illustrer certaines tendances de la vie culturelle a travers les attitudes decertains représentants célebres de l’Intelligentsia), mais également déterminé par les documents d’archive, sur la base desquels nous avons élaboré cettereconstruction historique. Ainsi, nous avons utilisé différentes sources, par exemple des enquetes littéraires, des mémoires et des entretiens.Pendant le socialisme, et surtout a partir des années 1960, le pouvoir avait déja acquis une physionomie nouvelle, plus « expérimentée », politiquement plus «maturée ». Ses rapports avec l’intelligentsia (surtout avec le milieu artistique) sont habiles, et aussi tres mobiles. Les différents événements politiques, lamodification des accents idéologiques ou l’ éclatement des scandales culturels emmenent une pluralité de réactions et de mesures. Certaines attitudesgénérales en dérivent au cours de trois décennies: la riposte et l’opposition; le “silence”, et l’acceptation des privileges, le conformisme.
13. History of Communism in Europe: Volume > 2
Raluca Grosescu Stephen Kotkin, Jan Gross, The Uncivil Society: 1989 and the Implosion of the Communist Establishment
14. History of Communism in Europe: Volume > 2
Alina Pavelescu Idéologiser la culture alternative. Adrian Păunescu et le Cénacle Flacăra
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Fondé en 1973 par le poete Adrian Păunescu, le Cénacle “Flacăra”, a été le phénomene le plus prodigieux de la propagande culturelle du régimeCeauşescu. Cette étude questionne le fonctionnement du cénacle sous l’angle du réseau relationnel des acteurs de cette propagande ainsi que de ses effets dans la culture politique de la jeunesse roumaine des années 1970-1980. L’analyse du Cénacle «Flacăra» rende compte du positionnement de son fondateur en tant qu’acteur actif de la propagande nationaliste du régime Ceauşescu, de la maniere dont son action publique s’insere dans l’action des autres acteurs de la meme catégorie, des buts de sa stratégie de confi scation de la culture alternative des jeunes et des moyens employés pour les atteindre.
15. History of Communism in Europe: Volume > 2
Luciana M. Jinga Intellectuelles ou apparatchiks. Les politiques pour la promotion des femmes dans le Parti Communiste Roumain
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L’État communiste roumain s’est appuyé dans sa politique concernant le statut des femmes sur deux principaux piliers: la loi (prétendument égalitaire) et partis communistes de la région. Une particularité du cas roumain a été, en revanche, la promotion constante des femmes dans le parti et le suivi attentif des pourcentages. Cependant, malgré les mesures proactives prises dans les années 1970 et 1980, la représentation féminine au sein du PCR n’a jamais dépassé 36%. Une présence numériquement importante au sein du parti n’a pas conduit a une représentation similaire dans les instances politiques dirigeantes. Ici aussi, notre étude nous a permis de nuancer les appréciations et de mettre en évidence une disparité entre les organes locaux et les organes centraux du parti. Dans les comités du parti au niveau départemental, le pourcentage de femmes était a peu pres le meme (sinon plus élevé) que la moyenne nationale des femmes membres du parti. Au contraire, dans les instances centrales notamment dans le Comité Central, le Comité Politique Exécutif ou son Bureau, la présence des femmes restait plutôt une exception. Le cumul des fonctions a toutefois donné au niveau de l’opinion publique l’image d’une omniprésence féminine dans les postes de direction, aussi bien dans les organismes civiques que dans les instances du parti et les institutions d’Etat. Il nous a semblé intéressant de confronter cette image commune avec la situation réelle. L’analyse attentive des diff érentes instances nous a permis d’identifi er un groupe dirigeant formé par les femmes membres du parti «cumulardes». Il ne comprenait pas plus de 30 a 40 personnes. Le portrait général des femmes membres du parti, élues au Comité Central Parti Communiste Roumain, diff ere de l’image stéréotypée de l’ouvriere analphabete, militante du parti, promue uniquement pour l’adhésion totale au parti et moins pour des raisons méritocratiques. Depuis octobre 1945, la proportion des intellectuelles a été signifi cative, meme majoritaire pendant des deux décennies. Comme pour l’organisation féminine de masse, le Parti Communiste Roumain a désigné comme représentantes au Comité Central des femmes sur lesquelles on pouvait compter du point de vue professionnel et intellectuellement.
16. History of Communism in Europe: Volume > 3
Raluca Grosescu Vladimir Tismăneanu, Bogdan Iacob (éd.), The End and the Beginning. The Revolutions of 1989 and the Resurgence of History
17. History of Communism in Europe: Volume > 3
Corina Doboş Raluca Grosescu, Les communistes dans l’apres-communisme. Trajectoires de conversion politique de la nomenklatura roumaine apres 1989
18. History of Communism in Europe: Volume > 3
Aurelia Vasile L’industrie cinématographique roumaine au service de la nation. Les enjeux de la production des fi lms sur l’antiquité durant la période communiste
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L’objet d’analyse de cette étude est la production des films traitant l’antiquité et réalisés en Roumanie pendant le régime communiste. Il s’agit plus précisément de trois films : Les Daces (1965, Sergiu Nicolaescu), La Colonne (1968, Mircea Drăgan) et Burebista (1980, Gheorghe Vitanidis). Leur production témoigne des conditions politiques, idéologiques et économiques qui ont marqué le processus de reconstitution historique. Cet article tente de retracer le cheminement décisionnel dans la production de ces films, les objectifs des cinéastes et des autres professionnels du cinéma, le rôle du pouvoir politique dans leur évolution de 1960 jusqu’en 1970.
19. History of Communism in Europe: Volume > 3
Luciana Jinga Citoyenneté et Travail des Femmes dans la Roumanie Communiste
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Les pratiques de l’État définissent et légitiment les divisions de genre et les identités genrées. Le point central de l’article est la nature de la citoyennetédes femmes, en Roumanie, pendant le régime communiste. Pour construire ses sujets genrés, le régime communiste a utilisé a la fois le discours officiel et le cadre législatif. La recherche este construite autour une étude de cas, l’activité salariée, uncarrefour pour toutes les politiques de l’état communiste envers sa population féminine, génératrice de libertés et sources d’inégalité en meme temps. Il serait abusif d’affirmer que toutes les mesures prises par le régime communiste ont été vouées a l’échec. L’acces des femmes a l’éducation et l’entrée dans une activité professionnelle salariée ont été deux préoccupations majeures du régime communiste et la postérité de ces deux domaines mérite a etre soulignée. Car, si la présence politique des femmes apres 1989 a été insignifiante, sur le plan professionnel, les femmes ont maintenu et meme renforcé leurs positions. Le degré de réussite scolaire a tous les niveaux d’études et les revenus obtenus par les femmes en Roumanie montrent que les actions du régime communiste dans ces domaines ont déterminé un changement durable et profond des mentalités et des comportements sociaux. Dans cette postérité disparate et nuancée on peut trouver les arguments d’une interprétation plus nuancée, de ce qu’a été la citoyenneté des femmes pendant le communisme.
20. History of Communism in Europe: Volume > 4
Camelia Runceanu Le « procès du communisme » et les formes de la rhétorique de l’« anticommunisme » dans la presse intellectuelle roumaine audébut des années 1990
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Sous l’emprise de l’urgence, a la suite de la démission du communisme, des intellectuels autonomistes d’avant 1989 se mobilisent au nom de la morale. Le regroupement d’intellectuels permet de mettre en valeur le capital moral qu’ils cumulent et que certains ont obtenu avant 1989 et le volume du capital symbolique en procédant a une réévaluation du capital culturel acquis sous le communisme pour s’engager au nom des valeurs intellectuelles. L’affirmation collective des intellectuels suppose la construction d’une identité commune qui est en rapport avec l’évaluation du passé. Cet article présente une premiere étape dans le travail de construction d’une identité commune et de légitimation des engagements intellectuels qui consiste dans le recours a la mémoire individuelle au moment meme de la restructuration de l’espace politique et dans la formulation du « proces du communisme » comme proces « moral». Le témoignage est une forme prise par le travail de mémoire qui prend une place importante dans les stratégies discursives de légitimation de la position des intellectuels, des revendications d’un rôle politique par des intellectuels consacrés sous le communisme et des intellectuels autonomistes de la période communiste. Le travail de mémoire qui nous est présenté sous diverses formes s’inscrit et fonde l’objectif principal de ces intellectuels, a savoir faire le « proces du communisme ».