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book symposium/tribune du livre

61. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
William L. Harper

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62. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Kenneth R. Westphal

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interventions/discussions

63. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Gerald Beaulieu

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64. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Neil McLaughlin

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65. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Slava Sadovnikov

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book reviews/comptes rendus

66. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Benoît Castelnérac

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67. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Yvon LaFrance

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68. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Frédérick Guillaume Dufour

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69. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
André Lebel

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70. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
D. D. Todd

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71. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Travis Dumsday

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72. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4
Cheshire Calhoun

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books received/livres reçus

73. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4

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index/sommaire/volume xlivi/2007

74. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 4

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articles

75. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Joseph T. Palencik

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ABSTRACT: Philosophers who discuss the emotions have usually treated amusement as a non-emotional mental state. Two prominent philosophers making this claim are Henri Bergson and John Morreall, who maintain that amusement is too abstract and intellectual to qualify as an emotion. Here, the merit of this claim is assessed. Through recent work in neuroanatomy there is reason to doubt the legitimacy of dichotomies that separate emotion and the intellect. Findings suggest that the neuroanatomical structure of amusement is similar to other commonly recognized emotion states. On the basis of these it is argued that amusement should be considered an emotion. RÉSUMÉ: Les philosophes qui adressent la question des émotions traitent généralement l’état d’amusement comme un êtat mental excluant l’émotion. Parmi les philosophes importants à défendre cette thèse, Henri Bergson et John Morreall soutiennent que l’amusement est trop abstrait et intellectuel pour être tenu pour une émotion. Nous réévaluons cette thèse. De récents travaux en neuroanatomie fournissent des raisons de douter de la légitimité de la dichotomie entre émotion et intellect. Certaines autres découvertes suggèrent que la structure neuroanatomique de l’amusement est très similaire à d’autres états émotifs. Sur la base de ces travaux, nous argumentons que l’amusement doit être considéré comme une émotion.
76. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Raphaël Arteau Mcneil

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RÉSUMÉ: Cet article poursuit un double objectif: premièrement, de montrer que, dans I’Hippias majeur de Platon, Hippias défend une ontologie matérialiste, et, deuxièmement, de définir la critique de cette ontologie matérialiste. Cette démonstration repose sur l’interprétation du passage qui se trouve en 300b4-301e3. Nous présenterons d’abord les limites des interprétations qu’en font P. Woodruff et I. Ludiam, pour ensuite définir le concept de matérialisme dans le contexte de la pensée ancienne (Démocrite) afin de dégager les traits spécifiques du matérialisme que Platon prête aHippias. L’opposition entre Hippias et Socrate est enfait une opposition ontologique entre deux conceptions de l’unité : les unités corporelles élémentaires (Hippias) et l’«unité formelle» (Socrate).ABSTRACT: The aim of this article is twofold: first, to show that, in Plato’s Hippias Major, Hippias is the mouthpiece of a materialist ontology; second, to discuss the critique of this ontology. My argument is based on an interpretation of Hippias Major 300b4-301e3. I begin by revealing the shortcomings of P. Woodruff’s and I. Ludlam’s interpretations. Next, I define the concept of materialism as it was understood in ancient Greece (Democritus) in order to outline the specificity of Hippias’ materialism. Finally, I argue that the opposition between the two characters of the Hippias Major represents in fact an ontological opposition between two conceptions of what a unity is, i. e., Hippias’ elementary corporal unities and Socrates’ “formal unity.”
77. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
John Michael McGuire

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ABSTRACT: This article defends the idea that causal relations between reasons and actions are wholly irrelevant to the explanatory efficacy of reason-explanations. The analysis of reason-explanations provided in this article shows that the so-called “problem of explanatory force” is solved, not by putative causal relations between the reasons for which agents act and their actions, but rather by the intentions that agents necessarily have when they act for a reason. Additionally, the article provides a critique of the principal source of support for the thesis that reason-explanations are causal explanations, namely, Davidson’s argument in “Actions, Reasons, and Causes.” It is shown that Davidson’s argument for this thesis rests crucially on two mistakes: his definition of intentional action and his ontological prejudice against intentions.RÉSUMÉ: Cet article soutient que les relations causales entre raisons et actions ne sont pas du tout adaptées à l’efficacité explicative de la relation raison-explications. L’analyse de cette dernière introduite dans le présent article montre que le soi-disant «problème de la force explicative» se trouve résolu non par de prétendues relations causales entre les raisons pour lesquelles des agents agissent et leurs actions mais plutôt par les intentions que les agents ont nécessairement quand ils agissent pour une raison. Par ailleurs l’article avance la critique de ce qui est essentiellement à la source de la défense de la thèse selon laquelle la relation raison-explications forme les explications causales, c’est-a-dire l’argument de Davidson dans «Actions, Raisons et Causes» Il est montré que l’argument de Davidson a l’oeuvre dans cette thèse repose essentiellement sur deux erreurs: la première est sa définition de l’action délibérée et la seconde est un préjugé d'ordre ontologique à l’égard des intentions.
78. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Ruth Weintraub

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ABSTRACT: According to the received view, Hume is a much more rigorous and consistent concept-empiricist than Locke. Hume is supposed to have taken as a starting point Locke’s meaning-empiricism, and worked out its full radical implicalions. Locke, by way of contrast, cowered from drawing his theory’s strange consequences. The received view about Locke’s and Hume’s concept-empiricism is mistaken, I shall argue. Hume may be more uncompromising (although he too falters), but he is not more rigorous than Locke. It is not because of (intellectual) timidity that Locke does not draw Hume’s conclusions from his empiricism. It is, rather, because of his much sounder method.RÉSUMÉ: Selon l’opinion génerale, Hume est un empiriciste conceptuel beaucoup plus rigoureux et consistent que Locke. On croit que Hume a pris l’empiricisme des significations de Locke comme son point de depart et puis élabore toutes ses implifications radicales -- et que Locke, au contraire, se retire et évite de tirer les etranges conséquences de sa théorie. Je veux soutenir que l’opinion acceptée sur l’empiricisme conceptuel de Locke et Hume est en erreur. Hume est peut-être plus décidé (quoique lui, aussi, hésite) mais il n’est pas plus rigoureux que Locke. Si Locke ne tire pas les conclusions d’Hume de son empiricisme ce n’est pas a cause de sa timidite (intellectuelle). Plutôt, il le fait grace a sa methode beaucoup mieux fondée.
79. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Jérémie Griard

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RÉSUMÉ: En excluant le monopole juridictionnel de la souveraineté afin de préserver une autorité supérieure aux souverains, Leibniz réduit celle-ci au seul monopole de la coercition. Cependant, cette redéfinition de la souveraineté place la guerre au cœur des relations internationales. Elle est, en tant que faculté, la condition de participation pour les souverains au «droit des gens», droit qui lui-même doit éviter de tellesguerres. La paix n’est donc pour Leibniz qu’au prix de l’établissement d’un équilibre entre forces contraires qui, en s’opposant et si elles sont de même intensité, annulent réciproquement leurs effets. C’est cette conception dynamique de l’ordre politique que cet article se propose de traiter.ABSTRACT: This article deals with Leibniz’s dynamic conception of political order. Leibniz reduces the sovereignty of States to the monopoly of coercion by setting apart jurisdictional monopoly and sovereignty. With this new definition of sovereignty however, war becomes the core of international relations. The sovereigns’ ability to make war is the condition to take part in law of nations, whose precise aim is to prevent wars. Peace can only exist if there is a balance between opposite forces of similar magnitude that cancel each other.
80. Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie: Volume > 46 > Issue: 3
Evan Simpson

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ABSTRACT: Imagining a future world in which people no longer die provides a helplul tool for understanding our present ethical views. It becomes evident that the cardinal virtues of prudence, temperance, and courage are options for reasonable people rather than rational requirements. On the assumption that the medical means to immortality are not universally available, even justice becomes detached from theories that tie the supposed virtue to the protection of human rights. Several stratagems are available for defending a categorical right to life under these circumstances, but none is compelling. Justice and human rights should therefore be understood as social conventions whose stability depends upon rejecting a tyranny of the immortals in favour of cultural traditions that connect rights and liberties with the means for their enjoyment.RÉSUMÉ: Imaginer un monde dans lequel plus personne ne mourrait peut s’avérer utile afin de comprendre l’éthique contemporaine. Il devient alors évident que les vertus cardinales que sont la réflexion, la tempérance et le courage concernent des gens raisonnables et ne sont pas des exigences de la raison. Si on suppose que les ressources médicales de l’immortalité ne sont pas disponibles pour tous, même la justice devient indépendante des théories qui relient cette hypothétique vertu à la protection des droits de l’homme. Plusieurs stratégies s’offrent à nous afin de défendre un droit catégorique de vivre selon ces conditions, mais aucune n’est imparable. La justice et les droits de l’homme devraient en ce cas être envisagés comme des conventions sociales dont la stabilité dépend du rejet de la tyrannie des immortels en faveur des traditions culturelles qui relient droits et libertés aux moyens d’en profiter.