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i. aufsätze

1. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Max Horkheimer

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These critical remarks attempt to point out the role which modern philosophical anthropology can play in historical theories of the present day. In order to grasp correctly the historical tendencies of the present period, it is necessary to take into account the special characteristics of modern man. Modern philosophical anthropology is criticized by H. because it attempts to picture man in his fundamental essence as a permanent and unchangeable entity, instead of studying him from the viewpoint of a theory of historical change. Today it is necessary to emphasize the difference in human qualities between different social groups and to understand the interconnection between the changes of human types and the whole social development. But philosophical anthropology attempts to consider the essence of man as permanent and independent of historical change, and thus to impart meaning to individual and social life. In this way it proves its relationship to metaphysics and religion. In contradiction to this, H. indicates the results that might be achieved on the basis of an historical approach. He shows how the attitude of modern man towards contracts has changed in the last decades ; how the principle of equality has taken on an entirely different meaning ; how the human qualities of sympathy and understanding change their essence and their functions and are being transferred from one social group to another.Pour saisir exactement les tendances historiques de l'époque actuelle, il est nécessaire de tenir compte aussi du caractère propre et des transformations des hommes d'aujourd'hui. L'anthropologie philosophique moderne est critiquée par H. parce qu'elle cherche à dessiner une image éternelle de l'homme, alors que les études anthropologiques devraient être pénétrées d'esprit historique. Alors qu’il importe aujourd’hui de dégager les différences des qualités humaines dans les divers groupes sociaux, de comprendre le lien des transformations des types humains et de l’évolution de la société dans son ensemble, l’anthropologie philosophique veut fixer une fois pour toutes l'essence de l’homme et donner par là un sens à l’existence individuelle et sociale. Elle montre ainsi qu’elle est solidaire de la métaphysique et de la religion. H. oppose à cette méthode une recherche anthropologique qui serait orientée aux problèmes historiques, et il donne quelques indications sur cette anthropologie. J1 montre comment l’attitude de l’homme actuel à l’égard des engagements et des traités s’est transformée dans les dernières dizaines d’années, comment la categorie d'égalité comme détermination des hommes prend des significations toutes différentes, comment les qualités humaines de compréhension et de sympathie changent de nature et de fonction, passent d’un groupe social à un autre.
2. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
K. A. Wittfogel

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Der vorliegende Aufsatz stellt einleitend fest, dass nur eine an materiellen Gesichtspunkten orientierte Betrachtungsweise im Stande ist, die Frage des Wertes der chinesischen Geschichtsquellen zu beantworten, an der eine rein philologische Methodologie notwendigerweise scheitern musste. Sachliche, nicht formelle Probleme haben im Mittelpunkte einer wirklich wissenschaftlichen Analyse der chinesischen Wirtschafts- und Sozialgeschichte zu stehen.Gab es ursprünglich in China eine kollektive Agrarordnung, und falls ja, wie war sie beschaffen ? Welche Ursachen hatten Beginn, Blüte und Verfall dieser Agrarkommune ? Welche Ursachen hatte der Verfall der auf ihrer Grundlage errichteten Feudalordnung ? Welches waren Charakter und Bewegungsgesetz des aus Chinas Feudalismus hervorwachsenden Produktionssystems ? Welches war das Prinzip seiner Krisen und seines fehlerhaften Kreislaufs ?W. s Aufsatz sucht, gestützt auf die These, dass Chinas nachfeudale Gesellschaft eine spezifische Schattierung einer allgemeineren ,orientalisch’ — bürokratischen Sozialordnung gewesen sei, einen Teil dieser Fragen zu beantworten und für die übrigen zu umreissen, in welcher Richtung ihre wissenschaftliche Beantwortung erfolgen muss. Der abschliessende Vergleich mit der durchaus andersartigen sozial ökonomischen Entwicklung Japans zeigt die Bedeutung einer wirtschaftsgeschichtlichen Analyse Chinas auch für ein wissenschaftliches Verständnis der gegenwärtigen gesellschaftlichen Erscheinungen des Fernen Ostens.L’article précédent commence par poser que seule une méthode orientée à des points de vue matériels est en état de donner une réponse à la question de la valeur des sources de l’histoire chinoise, tandis qu’une méthode qui tendrait à la pure philologie échouerait nécessairement. Ce sont des problèmes de faits et non des problèmes formels qui doivent être au centre d’une analyse véritablement scientifique de l’histoire économique et sociale de la Chine.A-t-il existé primitivement en Chine une organisation agraire collective et dans le cas où il faudrait répondre par l’affirmative, quelle était cette organisation ? Quelles furent les causes du début, de l’épanouissement, et de la décadence de ces communautés agraires ? Quelles furent les causes de la décadence de l’ordre féodal fondé sur ces communautés ? Quels furent le caractère et la loi d’évolution du système de production sorti de la féodalité chinoise ? Quel fut le principe des crises et du cycle défectueux de ce système ?L’article de W. s’appuie sur la thèse selon laquelle la société post-féodale chinoise était un aspect particulier de l’ordre social général qu’on appelle bureaucratie „orientale“, et cherche ainsi à donner partiellement réponse aux questions précédentes, et pour le reste à déterminer dans quelles directions une réponse scientifique doit survenir. La comparaison finale entre l’évolution économique et sociale chinoise et l’évolution toute différente du Japon montre la signification qu’une analyse d’histoire économique de la vieille Chine présente aussi pour une compréhension scientifique des phénomènes sociaux actuels en Extrême-Orient.
3. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Charles A. Beard

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Der Verfasser bemerkt, dass die Geisteswissenschaften in U. S. A. im Unterschied zu Europa fast ausschliesslich in d*nn offiziellen Rahmen der Universitäten betrieben werden. Sie standen nicht im Mittelpunkt des allgemeinen Interesses und genossen keine starke materielle Unterstützung. Die Sozialforschung hat sich ausserordentlich spezialisiert, und obwohl, namentlich durch den Einfluss der deutschen Soziologie, ein gewisses Interesse an Synthesen und Zusammenfassungen besteht, sind dennoch die amerikanischen Sozialwissenschaften ständig davon bedroht, sich mit einer blossen Anhäufung von grossem empirischem Material zu begnügen. Es ist geradezu ihre Schicksalsfrage, ob es ihnen gelingt, die ausgedehnten materialreichen Einzeluntersuchungen zu einer wirklichen gesellschaftlichen Theorie zu organisieren.L’auteur remarque que, aux États-Unis, à la différence de ce qui se passe en Europe, les sciences morales sont cultivées presque exclusivement dans le cadre officiel des universités. Elles n’étaient pas pour le public un objet d’intérêt central et ne recevaient pas de grands soutiens matériels. La recherche sociale s’est extraordinairement spécialisée, et encore que, en particulier sous l’influence de la sociologie allemande, il existe un certain intérêt pour les synthèses et les ensembles, les sciences sociales américaines restent cependant toujours menacées de se contenter d’une simple accumulation d’un matériel empirique considérable. C’est là véritablement pour elles la question décisive : réussiront-elles à organiser les recherches de détail étendues, riches de faits, en une véritable théorie de la société ?
4. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Ferdinand Tönnies

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Discussing the new book of Bosse, the author studies the significance and foundation of the so-called „right to work“. In contradiction to Bosse's ideas, the significance of the „right to work“ seems to the author to be essentially a matter of social legislation, and he thinks that the first step in its realization would have to be a further development of the system of social insurance. According to T., the „right to work“ is one of the most advanced ideas in social legislation, an idea that was brushed aside immediately after the counter-currents of today asserted themselves.Dans une discussion du nouveau livre de Bosse, Tauteur recherche la signification et le fondement de ce que Ton appelle „le droit au travail“. En opposition avec Bosse, il lui semble que le contenu du droit au travail est essentiellement un problème de politique sociale et un plus grand développement du système d’assurances est à ses yeux le meilleur moyen d’aborder ce problème. Tönnies tient le droit au travail pour un des postes les plus avancés d’une politique sociale progressive, poste qui a été emporté tout d’abord par le courant contraire qui domine actuellement.
5. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Kurt Mandelbaum

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ii. besprechungen

6. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Herbert Marcuse

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7. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Flerbert Marcuse

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8. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Paul Findeisen

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9. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Walter Funck

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10. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Paul Friedrich

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11. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Morris Ginsberg

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12. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Martha Champion

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13. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Herbert Marcuse

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14. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Friedrich Pollock

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15. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
George A. Lundberg

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16. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Paul Leroy

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17. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
R. Meili

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18. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Erich Fromm

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19. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
Erich Fromm

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20. Zeitschrift für Sozialforschung: Volume > 4 > Issue: 1
R. de Saussure

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